Open access camp, ateliers collaboratifs sur l’open access : votre programme, vos interventions

2016-oa-camp-bordeaux-afficheQuoi et pourquoi? Un barcamp, soit une « non conférence », en prélude de la semaine internationale de l’open access. Le leitmotiv : « Pas de spectateur, tous participants »

Au menu : des ateliers courts qui ne sont ni des démos, ni des formations, mais des séances de travail collaboratif autour d’un thème. Pas de programme proposé à l’avance : celui-ci a été conçu sur la base des propositions des participants. Les propositions ont été synthétisées et rendues publiques quelques jours avant la manifestation.

Consulter les propositions de thèmes : https://docs.google.com/spreadsheets/d/12326TZ4X0lQh_ri77XDV-_p6Rp7h8VB3DyTvanrhn0w/edit?usp=sharing

Consulter le « post gramme » issu des contributions : http://bit.ly/2edAt4r

Pour qui? Tous publics intéressés par l’open access (doctorants et chercheurs, enseignants-chercheurs, personnels des services recherche, personnels des unités de recherche, professionnels de l’information et de l’édition scientifique, etc.).

La synthèse des ateliers

Restitution atelier 1 : « Marre de prêcher dans le désert? Renouvelons l’accompagnement vers le libre accès »

Restitution atelier 2 : « Le libre accès a-t-il besoin des institutions ? Nos institutions ont-elles besoin du libre accès? »

Restitution atelier 3 : « D’un échec annoncé à un projet gagnant :
la clé de vos succès pour le libre accès »

Consultez les tweets sur l’open access camp ; animateur du compte Urfist le 20/10 : Gilles Russeil (Université Bordeaux Montaigne)

Visionner la restitution des ateliers et les échanges via web TV Montaigne : chaque groupe a désigné un ou plusieurs rapporteurs pour exposer aux autres participants les contenus produits pendant la séance de travail


  • 9h30-12h30 : ateliers, sessions parallèles ; une pause en milieu de matinée est prévue au même moment pour donner l’occasion à ceux qui le souhaitent de participer à d’autres ateliers : attention, les ateliers ne reprennent pas dès le début après la pause, les échanges se poursuivent. Il ne s’agit pas d’une 2ème session d’un même atelier.
  • 12h30-14h : buffet
  • 14h-15h : restitution des ateliers par les participants

 FAQ de l’open access camp

« Quels peuvent être les thèmes? y a-t-il des thèmes exclus? »Tout fonctionne à partir du moment où il est question d’open access et que vous n’attendez pas une formation classique. Ex. : les nouveaux outils de l’édition scientifique en ligne ; BiorXiv et pratique du preprint en sciences du vivant ; les journaux en OA : crédibles ou pas ? La gestion des APC dans mon labo ; H2020 en pratique ; diffusion des données scientifiques en OA pour les non publiants ; les ressources humaines (compétences, organigramme, évolutions) ; la médiatisation de l’open access à destination des chercheurs ; la recherche de sources en OA, etc.

« Je n’ai pas de proposition de sujet, mais souhaite venir. Est-ce possible? » Oui, tous les intéressés sont les bienvenus à condition de participer aux échanges. Inversement, la proposition de sujet ne vaut pas pour inscription : pensez à vous inscrire aussi sur la plateforme de l’Urfist.

« Que dois-je prévoir? » Tout ce que vous souhaitez partager avec les autres. Prévoyez vos ordinateurs portables, tablettes, dossiers.

« Comme il n’y a pas de support de présentation pour les ateliers, comment avoir une trace des échanges? » Tous les ateliers donnent lieu à un compte-rendu, qui sera diffusé sur le site de l’Urfist de Bordeaux. Une restitution collective orale est aussi prévue le jour J pour clôturer la manifestation.


Les animateurs : – Caroline Abela : responsable du Centre d’Information Scientifique et Technique centre Regards, UMR Passages – Julien Baudry : responsable des services aux chercheurs et productions numériques, Service Commun de la Documentation, université Bordeaux Montaigne – Antoine Blanchard : chargé de programmes Numérique + Transfert, Mission Investissements d’avenir, Pôle Recherche International Partenariats et Innovation, université de Bordeaux – Sabrina Granger : responsable de l’Urfist de Bordeaux – Jérôme Poumeyrol : responsable de la mission « Services et soutien à la recherche », direction de la documentation, université de Bordeaux, chef de projet archive institutionnelle site bordelais

Les partenaires de l’Urfist de Bordeaux :

  • Arpist, réseau des documentalistes CNRS Aquitaine-Limousin
  • CNRS, délégation Aquitaine
  • Inria, centre Bordeaux Sud-Ouest
  • Sciences Po Bordeaux
  • Université Bordeaux Montaigne
  • Université de Bordeaux
  • L’open access camp est hébergé dans les locaux de l’UMR Passages et soutenu par le consortium Couperin.

 

Liste des stages à la demande

Doctorants et docteurs : boostez votre recherche d’emploi avec les outils numériques – demandeur : association Aquidoc

  • Atelier organisé dans le cadre du forum annuel de l’association Aquidoc
  • Intervenant : Geneviève Delporte est consultante et formatrice en stratégie de communication multicanale. Elle s’est spécialisée dans l’accompagnement des entreprises aux pratiques du numérique. G. Delporte a occupé des postes de chargée de communication et a été directrice adjointe de cabinet pour la Ville de Savigny-le-Temple.
  • 02/06/2016

Cartographier et visualiser des données – demandeurs : école doctorale « Sciences exactes et leurs applications », service commun de la documentation de l’Université de Pau et des Pays de l’Adour

  • Formation organisée à Pau dans le cadre des journées des doctorants (ED « Sciences exactes et leurs applications »)
  • Intervenants : docteur en chimie des polymères, Vincent Bergeot est formateur indépendant. Joris Sansen, doctorant au Labri (Laboratoire Bordelais de Recherche en Inforatique) conduit ses travaux au sein de l’équipe MaBioVis (Modèles et Algorithmes pour la Bioinformatique et la Visualisation d’informations)
  • 15/12/2015

Pédagogie innovante en bibliothèque universitaire : retour d’expérience de l’Université de Pau et des Pays de l’Adour – demandeur : direction de la documentation, Université de Bordeaux

  • Formation organisée dans les locaux de la direction de la documentation
  • Intervenants : bibliothécaire au SCD de l’UPPA, Joanne Guene-Mercher est en charge des formations documentaires. Elle fait partie des pilotes du projet pédagogie innovante. Krassimira Lacoustete est ingénieur pédagogique à la Direction du numérique de l’UPPA ; elle exerce ses missions au sein du pôle « Accompagnement et ressources Tice ».
  • 19/11/2015

Rédiger pour le web – demandeur : direction de la recherche, pôle ED, Université Bordeaux Montaigne

  • Formation organisée dans les locaux de l’Université Bordeaux Montaigne
  • Intervenant : Elisa de Castro Guerra, formatrice indépendante spécialisée dans le web et le graphisme. Ses études en sciences humaines l’ont conduite à réfléchir à l’ergonomie et l’utilisabilité des interfaces logiciels et web.
  • 18/09/2015

Initiation et perfectionnement au logiciel Stat R – demandeur : unité de recherche GRESCO (Groupe de recherche et d’études sociologiques du centre Ouest), Limoges

  • Formation organisée dans les locaux du laboratoire
  • Intervenant : Amandine Blin, ingénieur d’études statistiques à l’UPR « Dynamique de l’évolution humaine : individus, populations, espèces » CNRS
  • 18-21/05/2015 pour les niveaux initiation et perfectionnement

Gérer ses références bibliographiques avec Zotero – demandeur : unité de recherche PACEA (De la préhistoire à l’actuel, culture, environnement, anthropologie), Bordeaux (site de Pessac)

  • Formation organisée dans les locaux du laboratoire
  • Intervenant : Sabrina Granger, conservateur des bibliothèques et responsable de l’Urfist de Bordeaux
  • 06/01/2015

Mettre en œuvre un service de prêt de tablettes : retour d’expérience de la bibliothèque d’HEC – demandeur : service commun de la documentation, Université de La Rochelle

  • Formation organisée dans les locaux de la bibliothèque universitaire
  • Intervenant : Sandra Dupouy, chargée de projets en informatique documentaire à HEC
  • 21/11/2014

Gérer ses références bibliographiques avec Zotero – demandeur : unité de recherche SET (Société, environnement, territoire), Pau

  • Formation organisée dans les locaux de l’unité de recherche
  • Intervenant : Sabrina Granger, conservateur des bibliothèques et responsable de l’Urfist de Bordeaux
  • 24/06/2014

Initiation à la TEI – demandeur : centre de recherche sur la langue et les textes basques (IKER), Bayonne

Ateliers pour la journée des doctorants – demandeurs : école doctorale « Sciences exactes et leurs applications », service commun de la documentation, Université de Pau et des Pays de l’Adour

  • Atelier sur les cartes heuristiques ; intervenant : Paul-Henri Dumas
  • Atelier sur les ressources en open access pour les sciences dures ; intervenant : Sylvain Machefert
  • Programme de la journée
  • 09/12/2013

[Forum Aquidoc] Doctorants et docteurs : boostez votre recherche d’emploi avec les outils numériques

Objectifs


  • Rendre son profil de chercheur visible et lisible sur internet pour les recruteurs : prendre conscience de la perception que les employeurs ont des doctorants et docteurs, rendre son parcours attractif pour un recruteur, valoriser ses compétences
  • Mener des recherches d’information efficaces dans une perspective de recherche d’emploi : quels outils pour quels besoins? Comment tirer parti des services et fonctionnalités des sites?
  • Adapter son écriture pour le web

Programme


AquidocL’objectif de cet atelier, organisé dans le cadre du forum de l’association des jeunes chercheurs d’Aquitaine (Aquidoc), est de promouvoir les possibilités d’insertion professionnelle des docteurs et doctorants dans le secteur privé.

Les doctorants souhaitant intégrer le monde de l’entreprise sont souvent en concurrence avec des profils plus généralistes :

– l’ingénieur, le généraliste : il serait flexible et adaptable mais modérément expert. Susceptible de pouvoir se spécialiser par un complément de formation, ses compétences seraient plus faciles à optimiser aux yeux d’un recruteur.

– le docteur : il s’agit d’un expert mais son soi-disant manque d’adaptabilité est mal perçu par les employeurs. Son recrutement serait plus risqué.

Les doctorants et docteurs doivent apprendre à désamorcer un certain nombre d’idées reçues de la part des recruteurs. Il va falloir trouver les moyens de se distinguer face aux profils plus généralistes en ayant une bonne connaissance de la concurrence dans son secteur. Or on ne construit pas un profil sur les outils numériques comme on peut construire un CV ou une lettre de motivation papier.

Vous allez y raconter votre parcours, votre histoire, et surtout mettre en avant par des mots clefs ce qui fait votre valeur ajoutée et qui contredit la caricature du doctorant, éternel étudiant seul face à sa thèse, ou du docteur enfermé dans sa micro-spécialité. Comment valoriser votre parcours dans la recherche? Comment éviter le vocabulaire très technique, scientifique? comment rendre son parcours intelligible?

  • 02/06/2016
  • campus de Pessac, BU Droit-Lettres (arrêt de tram « Montaigne-Montesquieu »), 1er étage, salle de formation Urfist
  • session 1 : 10h-12h
  • session 2 : 14h-16h
  • inscriptions et informations sur le forum : contact@aquidoc.fr
  • l’atelier s’adresse à des doctorants et docteurs issus d’horizons disciplinaires divers. La formation sera centrée sur les outils numériques conseillés, les éléments de langage recommandés.

Les contenus des 2 sessions sont les mêmes :

  • étude de marché
  • choix des éléments de langage pour un bon positionnement de son profil
  • sélection des supports numériques les mieux adaptés à sa culture web et à ses objectifs d’insertion professionnelle
  • méthodologie d’animation de ses outils numériques
  • suivi de sa e-réputation

La rédaction de la lettre de motivation ne fait pas partie du programme de la formation.

Intervenant : Geneviève Delporte est consultante et formatrice en stratégie de communication multicanale. Elle s’est spécialisée dans l’accompagnement des entreprises aux pratiques du numérique.

Au-delà du facteur d’impact, quelles alternatives aux métriques traditionnelles ?

Argumentaire

En 1961, E. Garfield inventait l’Impact Factor, un indicateur comparant la notoriété des revues et pas celle des articles, contrairement à une idée communément répandue. Cette métrique, incontournable dans les domaines de l’évaluation et du pilotage de la recherche, suscite des controverses : biais, interprétations erronées voire pernicieuses, schéma inadapté à certains champs disciplinaires, etc.
Par ailleurs, la diversification des modes de diffusion scientifique a conduit à s’intéresser à d’autres types d’indicateurs. C’est en 2010 qu’apparaissent les premières occurrences du terme « Altmetrics » et que le champ d’étude des mesures alternatives apparaît véritablement. Ce phénomène protéiforme qui connait une rapide expansion fait encore l’objet d’un flou sémantique : Altmetrics (Article Level Metric) ou Almetrics (Alternative Metric). En effet, ces métriques alternatives recouvrent des indicateurs variés : le nombre de téléchargements et de consultations d’un article, le nombre de citations dans des revues scientifiques, les commentaires sur les réseaux sociaux, les partages et archivages ou encore les citations dans les médias généralistes. Elles servent donc tout aussi bien à mesurer la notoriété et l’audience d’un article que la grande diversité des activités autour de lui. L’instantanéité, l’impact sociétal de la recherche, la mesure des usages des données scientifiques constituent les points forts de ces mesures et offrent des bases nouvelles à la réflexion sur la bibliométrie.
Ces métriques constituent donc une alternative aux traditionnelles citations pour valoriser la recherche.

Dès lors, on peut se demander quel peut être l’apport des métriques alternatives aux systèmes d’évaluation très codifiés déjà déployés.
Quelle légitimité ces métriques peuvent-elles revendiquer ? Quelles réponses ces indicateurs peuvent-ils apporter? Dans quelle mesure l’émergence de métriques alternatives comme les altmetrics peut-elle ou non constituer une opportunité pour les chercheurs en SHS notamment ? Plus généralement, le recours aux indicateurs induit-il une forme de normalisation de la production scientifique ?

La journée d’étude est co-organisée par le Service Commun de la Documentation de l’Université de Pau et des Pays de l’Adour et l’Urfist de Bordeaux.
La journée est filmée, mais il n’y a pas de diffusion en temps réel ; la vidéo sera disponible après la journée d’étude.

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Programme

9h-9h15 : Accueil des participants
9h15-9h30 : Ouverture de la journée, par Laurent Bordes, vice-président recherche de l’UPPA
9h30-10h15 : « Métriques alternatives, enjeux et essai de définition », par Annaïg Mahé, enseignant-chercheur en sciences de l’information et de la communication (équipe de recherche Dicen IDF), co-responsable de l’Urfist de Paris
10h15-10h30 : Échanges avec le public
10h30-11h : « L’archive nationale HAL : services aux institutions, services aux chercheurs et statistiques« , par Christine Berthaud et Agnès Magron, Centre pour la Communication Scientifique Directe (CCSD)
11h-11h15 : Échanges avec le public
11h15-11h30 : Pause
11h30-12h15 : « De la bibliométrie au contrôle « bibliocratique » des sciences – Regard d’un sociologue sur la bibliométrie », par Pascal Ragouet, enseignant-chercheur à la faculté de sociologie de l’Université de Bordeaux, Centre Émile Durkheim (UMR 5116)
12h15-12h30 : Échanges avec le public
12h30-14h30 : Déjeuner – pause déjeuner libre pour les participants
14h30-15h15 : Témoignages de chercheurs : table ronde sur des pratiques de chercheurs animée par L. Bordes
Xavier Arnauld de Sartre (Société Environnement Territoire, SET) ; Richard Chbeir (Laboratoire Informatique de l’UPPA, LIUPPA) ; Laurent Jalabert (Identités, Territoires, Expressions, Mobilités, ITEM) ; Serge Rey (Centre d’analyse théorique et de traitement des données économiques, CATT) ; Germain Vallverdu (Institut des Sciences analytiques et de Physico-chimie Pour l’Environnement et les Matériaux, IPREM)
15h15-15h30 : Pause
15h30-15h50 : « Les métriques à l’université : services proposés aux chercheurs lillois », par Solenn Bihan, chargée de la mission « Appui à la recherche et information scientifique », Service Commun de la Documentation de l’Université Lille 2
15h50-16h10 : « Métriques et bibliothèques universitaires, quelles perspectives? »par Stéphane Harmand, membre de la Commission Recherche de l’Association des Directeurs et personnels de direction des Bibliothèques universitaires et de la documentation (ADBU), chef de la section Santé du Service Commun de la Documentation de l’Université Lille 2
16h10-16h20 : Échanges avec le public
16h20-16h30 : Conclusion de la journée par L. Bordes

Consulter le plan du campus de l’UPPA :
http://www.univ-pau.fr/live/vie/campus/pau/acces
Télécharger le plan du campus :
http://www.univ-pau.fr/live/digitalAssets/146/146408_Pau-2015.pdf

Vers de nouveaux paradigmes pour l’édition scientifique? Dynamiques de validation et de légitimité

Argumentaire

Pourquoi publier ses travaux dans une revue émergente, dont le modèle éditorial même déroge aux critères classiques? Pourquoi faire le pari d’une diffusion hors des circuits identifiés par les organismes d’évaluation de recherche? Certaines revues vont jusqu’à remettre en cause l’hégémonie du facteur d’impact.

En d’autres termes, l’innovation en matière d’édition scientifique a-t-elle un sens et un avenir?
Dans un post du blog Binaire – l’informatique : La science au cœur du numérique, publié dans Le Monde, P. Guitton souligne la nécessité pour les chercheurs d’explorer des modalités alternatives de diffusion de leurs travaux : « […] ne tombons pas dans l’angélisme, un épi-journal n’est pas un gage de qualité en lui-même, mais au moins laissons-lui la chance de prouver sa valeur de la même façon qu’une revue papier et évaluons le avec les mêmes critères. Il s’agit vraiment de bâtir un nouveau paradigme de publication et nous, scientifiques, en sommes tous les premiers responsables avant d’en devenir les bénéficiaires dans un futur proche ». (Guitton, Pascal. « La publication scientifique : Le temps des dérives ». Binaire. Consulté le 14 septembre 2015. http://binaire.blog.lemonde.fr/2015/04/17/la-publication-scientifique-le-temps-des-derives/.)
Alors que l’édition scientifique classique tire sa légitimité de processus très codifiés et que les systèmes d’évaluation actuels incitent a priori peu à explorer des alternatives, on assiste pourtant au développement de nouveaux formats de publications et à l’émergence de nouveaux processus d’éditorialisation des données. Des revues expérimentent quant à elles de nouveaux processus de validation des contenus.

Sur quelles dynamiques de légitimation les nouvelles formes de publications ou de validation peuvent-elles s’appuyer pour affermir leur place?

À quels besoins ces formes de publications émergentes répondent-elles? Quels sont leurs avantages compétitifs pour les chercheurs dans l’univers très normé des publications de recherche?

Enfin, quelles réponses ces évolutions éditoriales apportent-elles à la question de l’intégrité scientifique?

La journée est co-organisée par :

  • le CNRS, délégation Aquitaine, pôle « Formation permanente »
  • l’Inria : Centre de Bordeaux Sud-Ouest et IES-DGDS
  • l’Université de Bordeaux, pôle Ressources humaines et développement social, « Développement des compétences »

CNRS délégation Aquitaine logo_UB INRIA_CORPO_CMJN

Programme

Professeur des universités à l’Université de Bordeaux – Inria, Pascal Guitton est le grand témoin de la journée .
8h45-9h : Accueil des participants, remise des documents et du matériel de traduction
9h-9h10 : Ouverture de la journée par Olivier Beaumont, délégué scientifique Inria, centre Bordeaux Sud-Ouest
9h10-10h : « F1000 : Bringing Transparency to Peer Review », par Maaike Pols ( Scientific Outreach Executive, F1000Search). F1000 Research est une plateforme scientifique permettant une publication rapide de travaux ouvertement revus par les pairs (en post-publication). Les échanges entre auteurs et reviewers sont donc publics. Les post-prints sont publiés sans coût supplémentaires et référencés dans Pubmed. [intervention en anglais ; interprète : Gisèle Massol]
10h-10h15 : Échanges avec le public
10h15-10h35 : Pause
10h35-11h20 : « Les épi-journaux, un nouveau paradigme de validation des contenus? », par Gaëlle Riverieux, Service d’édition scientifique, Inria. Le principe du projet Inria est d’offrir un moyen de communication rapide des résultats scientifiques, validés et labellisés par des revues du meilleur niveau dans le domaine de l’informatique et des mathématiques appliquées.
11h20-11h30 : Échanges avec le public
11h30-12h30 : « Pourquoi le concept d’ « impact factor » a-t-il été enterré? », par Sylvain Delzon (chercheur à l’Inra-Université de Bordeaux et éditeur en chef du JPH, UMR Biogeco). « Qui a peur de l’impact factor? » pourrait résumer en une question le parti pris de la revue The Journal of Plant Hydraulics qui a refusé de recourir à cet indicateur pourtant massivement employé par les autres revues scientifiques.
12h30-12h45 : Échanges avec le public
12h45-14h30 : Déjeuner libre pour les participants
14h30-15h15 : « Publier un Data Paper pour valoriser ses données », par Dominique L’Hostis (Service d’appui à la recherche, Inra). Un data paper permet de décrire un jeu de données brutes et est soumis à un processus de validation, au même titre qu’un article classique. Pourquoi publier un data paper? Qu’est-ce qu’un data journal?
15h15-15h30 : Pause
15h30-16h30 : « Vers de nouvelles marques éditoriales? », par Olivier Bomsel, professeur d’économie industrielle à Mines Paris Tech et directeur de la chaire Mines Paris Tech « Economie des médias et des marques ». Les revues académiques servent à labelliser et contextualiser des résultats de recherche. Quels sont les impacts du numérique et notamment du libre accès sur le modèle de l’exploitation de leurs marques éditoriales? Quelle est l’utilité économique de ces marques? Toutes les disciplines sont-elles également concernées?
16h30-17h15 : Table ronde animée par Pascal Guitton et synthèse de la journée

Réseaux sociaux et recherche : impacts, enjeux, identités

Argumentaire

Alors que depuis plusieurs décennies, des outils spécialement conçus pour la diffusion des travaux de recherche sont proposés aux chercheurs, force est de constater la rapidité avec laquelle les auteurs se sont emparés des réseaux sociaux, généralistes comme spécialisés, pour accroître la visibilité de leur production. La facilité d’utilisation fait partie des arguments les plus fréquemment évoqués pour justifier le recours aux réseaux sociaux par un public académique. Mais l’utilisation de tels outils n’est pas réductible à la seule question de l’ergonomie et des fonctionnalités proposées. En effet, le recours aux réseaux sociaux a des impacts profonds sur les modalités de communication entre chercheurs et sur la manière de partager leurs travaux. L’engouement des chercheurs pour les réseaux sociaux n’est pas neutre et soulève la question de l’identité numérique de l’auteur.

Par ailleurs, si les réseaux sociaux représentent des outils conçus pour mettre en relation des individualités, se pose aussi la question du positionnement des organismes de recherche. Comment les chercheurs s’approprient-ils ces outils conçus pour faciliter la découverte et la collaboration ? Voit-on les communautés scientifiques se reconstituer à l’identique? Les réseaux sociaux permettent-ils de se retrouver plus facilement entre pairs ou favorisent-ils un décloisonnement des spécialités? Quels sont les usages des chercheurs des fonctionnalités dites »sociales »? Quels sont les mécanismes de légitimation des experts? Dans quelle mesure les réseaux sociaux modifient-ils la notion d’identité numérique des chercheurs? Quelles dynamiques identitaires voient-on émerger sur les réseaux sociaux lorsqu’il s’agit d’un public scientifique?

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La matinée d’étude est co-organisée par l’Université de Limoges (direction de la recherche et service commun de la documentation) et l’Urfist de Bordeaux. La matinée n’est pas filmée.

Programme

– 9h-9h20 : accueil des participants, remise des documents

– 9h20-9h30 : allocution de bienvenue, ouverture de la matinée par Claire Corbel, directrice du pôle Recherche de l’Université de Limoges

– 9h30-10h : « Réseaux sociaux et recherche : enjeux pour les chercheurs », par Sabrina Granger, conservateur des bibliothèques responsable de l’Urfist de Bordeaux 

– 10h-10h30 : Retours d’expérience de chercheurs de l’Université de Limoges : , Irène Langlet est professeure de littérature contemporaine et spécialiste de la science-fiction, de la littérature non-fictionnelle et des genres médiatiques contemporains, rédactrice en chef de la revue Res Futurae.

Elsa Thune est maitre de conférences à l’ENSCI (École nationale supérieure de céramique industrielle), membre du laboratoire SPCTS (Science des procédés céramiques et des traitements de surface).

– 10h50-11h20 : « Le chercheur dans les réseaux de la République digitale : présence, communautés et nouvelles publications », par Olivier Le Deuff, enseignant-chercheur à l’Université Bordeaux Montaigne. Les travaux d’O. Le Deuff portent entre autres sur l’analyse des évolutions communicationnelles et informationnelles liées aux environnements numériques.

– 11h20-12h10 : « Usage des réseaux sociaux par les organismes de recherche : état des lieux et évolutions 2012 – 2014″, par Mathieu Jahnich, fondateur du Sircome . Depuis 2012, Sircome réalise une étude annuelle de l’usage des réseaux sociaux par les organismes français de recherche : ANDRA, ANRS, ANSES, BRGM, CEA, CIRAD, CNES, CNRS, FCBA, IFPEN, IFREMER, IFSTTAR, IGN, INED, INERIS, INRA, INRAP, INRIA, INRS, INSERM, Institut Cancer, Institut Curie, Institut Pasteur, IPEV, IRD, IRSN, IRSTEA, MNHN, ONEMA, ONERA.

– 12h10-12h20 : « Rendre plus visible la recherche », par Diane Daian, responsable du service communication de l’Université de Limoges

– 12h20-12h30 : conclusion

Consulter le compte-rendu rédigé par le Sircome

Infos pratiques :

http://bit.ly/23DAMbA http://www.fdse.unilim.fr/article13.html http://www.tourismelimousin.com/A-voir/Villes-villages-et-patrimoine/fre-FR/Faculte-de-Droit

Hôtel de la Bastide, 32 rue Turgot, Limoges

Rôle et compétences des professionnels de l’IST pour l’accompagnement des projets de recherche, réseau Arpist

Consulter le compte rendu de l’après-midi

Argumentaire

La littérature professionnelle et les études dédiées à l’évolution des compétences des professionnels de l’information, qu’ils soient documentalistes ou personnels de la filière bibliothèques, se multiplient et témoignent d’une nécessité de mettre en perspective les enjeux auxquels sont confrontés ces professionnels. En effet, au-delà des évolutions de fiches de postes et d’organigrammes, on voit également apparaître de nouveaux métiers : data manager, data scientist. La notion de désintermédiation est également évoquée de manière récurrente : le développement de la documentation en ligne et de services à distance mais aussi l’appropriation par les chercheurs eux-mêmes d’outils tels que les réseaux sociaux ont modifié la relation entre le professionnel de l’information et ses usagers.

Quel(s) rôle(s) les professionnels de l’information scientifique et technique peuvent-ils jouer auprès des chercheurs à l’heure du text et data mining, de la gestion de données, de l’open access et autres évolutions dans le domaine des pratiques de recherche et de diffusion? Quels types de compétences mobiliser en termes d’ingénierie documentaire en vue d’accompagner des projets de recherche? A quelles étapes de ces projets les professionnels peuvent-ils intervenir ? Et quels types de collaborations avec d’autres corps de métiers développer? Quelles évolutions voit-on émerger?

L’après-midi d’étude du réseau des documentalistes CNRS Aquitaine-Limousin (Arpist) est co-organisée par la délégation CNRS Aquitaine et l’Urfist de Bordeaux.

arpistCNRS délégation Aquitaine

 

Programme

13h30 : accueil des participants autour d’un café de bienvenue, remise des documents

14h-14h45 : « Quelle place pour les professionnels de l’information scientifique et technique dans les projets d’humanités numériques? » Retour d’expérience d’Emmanuelle Morlock, ingénieur d’études CNRS en humanités numériques au laboratoire Histoire et Sources des Mondes Antiques (Hisoma, UMR 5189)

14h45-15h30 : « Rôles et compétences dans un projet de mise à disposition d’archives d’enquêtes qualitatives en SHS : le cas de beQuali« , par Sarah Cadorel et Émilie Groshens, respectivement archiviste et chargée de ressources documentaires au Centre de données socio-politiques (CDSP, Sciences Po – CNRS, Paris), en charge du projet de banque d’enquêtes qualitatives en sciences sociales beQuali.

15h30-16h : pause

16h-16h45 : « Quelles compétences et quels modes de formations pour les professionnels de l’IST ? » Perspectives nationales et bilan d’étape des travaux du segment 9 (Formation, compétences, usages) de la Bibliothèque scientifique numérique (BSN), par Joanna Janik de la Direction de l’information scientifique et technique du CNRS

16h45-17h : conclusion de l’après-midi par Olivier Le Deuff, enseignant-chercheur en sciences de l’information et de la communication à l’Université Bordeaux Montaigne (laboratoire Mica – Médiation, Communication, Information, Art)

Ouverture des inscriptions second semestre universitaire 2015-16

Les inscriptions aux formations du prochain semestre organisées par l’unité régionale de formation à l’information scientifique (Urfist) de Bordeaux sont ouvertes.
Les formations sont gratuites pour les doctorants, les enseignants-chercheurs et personnels des universités et des EPST. Les inscriptions s’effectuent en ligne uniquement.
Pour tout complément d’information : urfist@u-bordeaux.fr

Axes de formation :

  • Rechercher des informations, exploiter et gérer sa documentation
  • Concevoir et rédiger des écrits scientifiques, gérer ses données de recherche
  • Valoriser et publier sa recherche, renforcer sa visibilité de chercheur

Consulter le programme détaillé

L’identité du publiant à l’épreuve du numérique : enjeux et perspectives pour l’identification des auteurs

Argumentaire

Un article publié dans Nature le 30 mai 2012, « Scientists : your number is up » mettait déjà en lumière la difficulté d’attribuer de manière certaine ses publications à un auteur. Declan Butler, l’auteur de l’article, prend pour exemple le cas d’un chercheur nommé Y. Wang : si l’on en croit la liste des résultats obtenus en interrogeant des bases de données, cet auteur serait sans doute le plus prolifique du monde avec une moyenne de 10 publications quotidiennes. Dans l’exemple cité, le problème des homonymes parasite le travail de recensement des publications. Mais l’homonymie ne constitue pas le problème principal car d’autres facteurs nuisent à la « traçabilité » des données scientifiques : les changements de noms, les variations de graphies, les conventions de nommage participent également à brouiller l’identité de l’auteur.

Alors que le paysage éditorial scientifique évolue profondément avec l’avènement de l’open access et de l’open data notamment, alors que les réseaux sociaux de chercheurs développent une gamme de services variés, il peut sembler paradoxal de constater qu’une action a priori simple s’avère en réalité laborieuse, voire incertaine. Les outils proposés aux chercheurs pour accroître leur visibilité se multiplient, mais on constate que cette même identité de publiant se trouve fragilisée par les failles du système d’identification.

Or, la difficulté pour attribuer à un auteur de manière certaine l’ensemble de sa production scientifique a des conséquences tant à l’échelle individuelle qu’à l’échelle collective. Des solutions techniques ont été déployées par les éditeurs et certains organismes ; on peut citer par exemple ResearcherID de Thomson ou encore Authorizer service d’ACM ou encore Orcid. L’enjeu de la journée d’étude est de mieux connaître les outils existants, les enjeux inhérents à l’identification des auteurs et de bénéficier du retour d’expérience de structures françaises et étrangères.

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La journée est co-organisée par : le pôle formation permanente de la délégation Aquitaine du CNRS, le service « Développement des compétences » du pôle Ressources humaines et développement social de l’Université de Bordeaux et l’Urfist

Programme

8h45-9h : accueil des participants, remise des documents et du matériel de traduction
9h-10h : « Enjeux de l’identification des auteurs et solutions actuelles », par Dominique Fournier, documentaliste, service d’appui à la recherche, Institut national de la recherche agronomique (INRA Montpellier).
10h-10h15 : Échanges avec le public
10h15-11h : « Co-evolution of Author IDs and Research Information Infrastructure in the Netherlands » par Clifford Tatum, project manager Acumen (Academic Careers Understood through Measurement and Norms, Université de Leiden). Les chercheurs néerlandais disposent tous d’un identifiant géré à l’échelle nationale, le Digital Author Identifier (DAI).
L’intervention est en anglais ; la traduction simultanée en français est assurée par Gisèle Massol
L’objectif actuel est de renforcer l’interopérabilité du DAI en s’appuyant sur le standard ISNI. L’intervention de C. Tatum sera l’occasion de disposer également d’un panorama des actions menées dans le domaine de l’identification des auteurs dans d’autres pays européens.
11h-11h15 : Échanges avec le public
11h15-11h35 : pause
11h35-12h15 : « Les identifiants chercheurs : mise en oeuvre à l’Inserm », par Sophie Duchaussoy, cellule « Mesures, indicateurs, bibliométrie », Inserm.
L’Inserm a intégré l’utilisation des identifiants d’auteurs dans la conception des listes de publication des unités de recherche. Comment accompagner au mieux les chercheurs? Pourquoi une telle démarche?
12h15-12h30 : Échanges avec le public
12h30-14h30 : Pause déjeuner ; repas libre pour les participants
14h30-15h30 : « L’IdHAL, un service à forte valeur ajoutée pour le chercheur« , par Bénédicte Kuntziger, service « Assistance, formation », Centre pour la Communication Scientifique Directe.
L’IdHal, nouveauté de la Version 3 de Hal, configuré par le chercheur, lui permet d’identifier et rassembler sous une même identité toutes les publications qui lui appartiennent dans l’archive ouverte nationale HAL, garantissant ainsi une recherche exhaustive sur son nom dans la base, ainsi que des statistiques de dépôt et consultation. Le chercheur a aussi la possibilité de lier son IdHal à ses autres identifiants ou autres productions sur diverses plateformes numériques, et de créer un CV en ligne paramétrable, dans la mesure où c’est le chercheur qui décide quels éléments il veut diffuser dans ce CV.
15h30-15h40 : Échanges avec le public
15h40-15h50 : pause
15h50-16h50 : « IdRef, service de référentiels pour l’enseignement supérieur et de la recherche« , par François Mistral, Responsable IdRef, Département des Services aux Réseaux, Agence bibliographique de l’enseignement supérieur (Abes).
Les bibliothèques de l’enseignement supérieur et de la recherche sont des acteurs majeurs dans la description des documents et des auteurs. Depuis de nombreuses années, des référentiels d’auteurs existent, mais les évolutions du paysage de la publication scientifique ont conduit l’Abes à repenser les outils développés.
16h50-17h : Échanges avec le public et conclusion de la journée

Services aux chercheurs : quelle politique pour les archives ouvertes institutionnelles ?

Programme

La conception d’une politique de services pour une archive institutionnelle poursuit un triple objectif :

  • mettre en œuvre les fonctionnalités supports d’une archive institutionnelle : collecter, décrire, conserver, éventuellement exporter vers d’autres solutions techniques l’ensemble de la production de l’établissement selon les critères documentaires retenus et enfin, diffuser les documents dans le respect des contraintes juridiques imparties et des souhaits des auteurs
  • répondre aux besoins des usagers finaux que sont les chercheurs mais également les instances de pilotage de l’établissement et les responsables d’unités de recherche. Il s’agit ici de répondre aux besoins des chercheurs en tant que producteurs de données et déposants dans l’archive mais aussi, aux attentes de leurs lecteurs et collaborateurs potentiels qui consultent l’archive.
  • encourager la prise en main de l’outil par les chercheurs et développer de fait un socle commun de pratiques numériques autour de la production scientifique de l’établissement. Si la politique de dépôt définie par l’établissement joue un rôle primordial dans le recours à l’outil, il s’avère qu’une politique de services adaptée demeure un enjeu stratégique pour favoriser l’adoption de certaines pratiques numériques au sein de la structure

Comment positionner l’offre de services d’un outil institutionnel à l’heure des réseaux sociaux, qu’ils soient spécialisés ou non? Comment s’approprier une offre de services définie par un prestataire externe? Quelles sont les attentes des chercheurs? Ces attentes peuvent différer selon les disciplines, mais ont elles évolué au fil des années, notamment avec l’émergence d’autres familles de sites? Si les services se déclinent principalement en ligne, ils peuvent aussi être complétés par une offre de services en présentiel. Dès lors, comment articuler les deux types d’offres?

La journée d’étude est co-organisée par le service commun de la documentation de l’Université de Pau et des Pays de l’Adour et l’Urfist de Bordeaux.

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9h00-9h30 : accueil des participants
9h30-9h45 : ouverture par Laurent Bordes, VP CS de l’UPPA, chargé du système d’information
9h45- 10h45 : « Les archives ouvertes dans l’offre de services pour la communication scientifique », par Emma Bester, doctorante au laboratoire DicenIDF (Dispositifs d’information et de communication à l’ère numérique Paris Ile de France)
11h00-12h15 : « Politique de dépôt et de services de ProdInra » par Diane Le Hénaff, responsable de ProdINRA, archive institutionnelle de l’Inra
12h15-13h30 : pause déjeuner
13h45 -15h00 : « ORBilu : des services pour être vu, pour être lu » par Marie-Pierre Pausch, responsable du service des bibliothèques, Université du Luxembourg, établissement déployé dans ORBi
15h15-16h30 : « Une politique à l’écoute des chercheurs : entre mandat de dépôt sur mesure et accompagnement pédagogique » par Françoise Gouzi, gestionnaire du portail HAL Toulouse 2 et chargée d’information scientifique et technique à la Direction en appui à la recherche (Toulouse 2) et Amélie Barrio, responsable « Diffusion et valorisation de la production académique » au Service commun de la documentation de Toulouse 2

Réseaux sociaux : impacts et enjeux pour les chercheurs

Programme

Les réseaux sociaux de chercheurs (RSC) semblent favoriser la dissémination des données scientifiques et les échanges entre scientifiques. Sont mis en avant : les services offerts aux auteurs pour suivre leur production, la possibilité pour les chercheurs de se constituer un réseau et d’échanger des documents facilement, l’opportunité de maîtriser et de valoriser son identité sur le web.
Ainsi, les RSC sont positionnés comme des outils intervenant tout au long du processus scientifique, accompagnant l’auteur dans sa recherche d’informations et de collaborateurs et lui permettant de diffuser ses travaux.

Quelle est l’action des réseaux sociaux de chercheurs sur la recherche ? Assiste-t-on à un éparpillement des données ou à une facilitation des échanges scientifiques ?

Par ailleurs, si les réseaux sociaux de chercheurs répondent à des besoins jusque-là non comblés de manière pleinement satisfaisante pour les chercheurs, quel est le prix à payer pour les individus et les institutions? Par ailleurs, quelle est la valeur ajoutée des réseaux sociaux généralistes pour des publics académiques ? Les usages de ces outils sont-ils fortement liés aux spécificités d’une discipline ? À quels besoins ces outils répondent-ils ?

Quel est le retour sur investissement pour un auteur ? Pourquoi choisir de développer une présence sur des réseaux généralistes plutôt que sur des réseaux ciblant des chercheurs ?
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La matinée est co-organisée par : le pôle formation permanente de la délégation Aquitaine du CNRS, le service « Développement des compétences » du pôle Ressources humaines et développement social de l’Université de Bordeaux et l’Urfist

9h-9h30 : accueil des participants, introduction
9h30-10h30 : « Usages des réseaux sociaux académiques : enjeux et opportunités » par Pascal Aventurier, responsable du service documentaire du centre INRA PACA. P. Aventurier intervient régulièrement sur les thèmes des réseaux sociaux académiques ainsi que de l’open access.
10h30-10h40 : échanges avec le public
10h40-11h : pause
11h-12h : « Comment le CNRS parle et communique sur les réseaux sociaux généralistes ? » par Loïc Bommersbach, community manager à la Direction de la communication du CNRS. Son intervention permettra de mettre en lumière la diversité des pratiques académiques des individus comme des collectivités (unité de recherche, établissement).
12h-12h10 : échanges avec le public
12h10-12h20 : conclusion de la journée

Recenser et analyser les publications : quels enjeux pour le pilotage et la valorisation de la recherche?

Programme

Les enjeux inhérents à la description et au recensement de la production scientifique d’un auteur ou d’une unité de recherche dépassent le seul domaine documentaire. En effet, avec le besoin accru d’outils de suivi et d’évaluation de la recherche, les données décrivant la production scientifique constituent désormais une matière première à très forte valeur ajoutée, permettant d’alimenter rapports d’activité, tableaux de bord et statistiques. L’analyse des données bibliographiques permet de mettre en lumière les collaborations scientifiques, d’établir des comparaisons entre établissements à l’échelle internationale.
Alors que les données sur les publications constituent la pierre angulaire des dispositifs d’évaluation de la recherche, force est de constater leur fragilité. En effet, la démultiplication de gisements de données n’a pas permis d’aboutir à un écosystème documentaire cohérent. Outre le problème de la qualité des données, recenser les publications d’un auteur ou d’une structure reste une tâche fastidieuse. Quelles réponses les établissements de recherche peuvent-ils apporter? Comment répondre aux besoins des individus et de la collectivité? L’objectif de cette journée d’étude est d’appréhender les enjeux majeurs du recensement des publications, de mieux comprendre les besoins des auteurs et des institutions afin de les anticiper et d’y répondre.

8h45-9h : Accueil des participants, remise des documents
9h-10h40 : « De Sigaps à Sampra : vers plus de visibilité« , par Patrick Devos, biostatisticien, chef de projet Sigaps/Sigrec au CHRU de Lille.
En partenariat avec Thomson Reuters, le CHRU de Lille a conçu Sampra, un outil de pilotage de la recherche non commercial. Sampra permet de valider et d’analyser un corpus et répond ainsi à la question de l’unification des données au niveau d’une institution ou d’un chercheur. Sampra et InCites 2 s’articulent : Sampra s’appuie sur le Web of Science pour la constitution des corpus. Les données collectées sont analysées par les départements et leurs chercheurs. Les auteurs valident et enrichissent les données sur leurs publications. Ces données sont ensuite exportées vers InCites 2 pour permettre à l’établissement de bénéficier des services d’analyse propres à InCites 2 : pour chaque auteur, il devient ainsi possible de travailler sur ses propres données enrichies. Une version bêta de Sampra est déjà opérationnelle.
10h40-10h55 : Échanges avec le public
10h55-11h15 : Pause
11h15-12h15 : « Analyse des publications et services aux chercheurs » par Solenn Bihan (chargée de mission « Bibliométrie et Open Access ») et Stéphane Harmand (responsable des BU de santé), conservateurs des bibliothèques.
Le Service Commun de la Documentation de l’Université de Lille 2 s’est positionné depuis 3 ans pour développer une offre de services d’accompagnement des chercheurs en sciences de la vie et de la santé : formation à la bibliométrie, aide à la stratégie de publication, analyse de la production scientifique. Pour cela, il a construit une démarche expérimentale en lien avec différents partenaires : unités de recherche, service de la recherche, délégation à la recherche du CHRU de Lille, collège doctoral de la COMUE.
12h15-12h30 : Échanges avec le public
12h30-14h30 : Pause déjeuner ; repas libre pour les participants
14h30-16h30 : « Archimer : archive institutionnelle, outil de pilotage et d’analyse« , par Frédéric Merceur, responsable de l’archive institutionnelle de l’Ifremer.
Dès 2011, l’Ifremer a souhaité coupler à son archive institutionnelle Archimer des outils bibliométriques afin d’améliorer la chaîne de la production documentaire. L’archive institutionnelle Archimer permet de produire des rapports et des indicateurs. Un système de veille permet de monitorer la production de l’établissement et de parvenir à un taux de recensement satisfaisant. Par ailleurs, la force de l’archive institutionnelle est de proposer une palette de services en ligne facilitant l’exploitation et la valorisation des données. Plusieurs niveaux de diffusion des données – de la diffusion la plus large à la confidentialité – permettent de faire de l’archive institutionnelle un outil de gestion fiable et respectueux des contraintes juridiques et stratégiques.
16h30-16h45 : Échanges avec le public
16h45-17h : Conclusion de la journée

Rôle et compétences des professionnels de l’information scientifique et technique pour l’accompagnement des projets de recherche

Jeudi 03 décembre 2015

Programme

La littérature professionnelle et les études dédiées à l’évolution des compétences des professionnels de l’information, qu’ils soient documentalistes ou personnels de la filière bibliothèques, se multiplient et témoignent d’une nécessité de mettre en perspective les enjeux auxquels sont confrontés ces professionnels.
En effet, au-delà des évolutions de fiches de postes et d’organigrammes, on voit également apparaître de nouveaux métiers : data manager, data scientist.
La notion de désintermédiation est également évoquée de manière récurrente : le développement de la documentation en ligne et de services à distance mais aussi l’appropriation par les chercheurs eux-mêmes d’outils tels que les réseaux sociaux ont modifié la relation entre le professionnel de l’information et ses usagers.
Quel(s) rôle(s) les professionnels de l’information scientifique et technique peuvent -ils jouer auprès des chercheurs à l’heure du text et data mining, de la gestion de données, de l’open access et autres évolutions dans le domaine des pratiques de recherche et de diffusion?
Quels types de compétences mobiliser en termes d’ingénierie documentaire en vue d’accompagner des projets de recherche? A quelles étapes de ces projets les professionnels peuvent-ils intervenir ? Et quels types de collaborations avec d’autres corps de métiers développer?
Quelles évolutions voit-on émerger?

La journée d’étude est co-organisée par le réseau des documentalistes CNRS Aquitaine-Limousin (Arpist), la délégation CNRS Aquitaine et l’Urfist de Bordeaux.

Pré-programme

13h30 : accueil des participants autour d’un café de bienvenue, remise des documents
14h-14h45 : Retour d’expérience d’Emmanuelle Morlock, chargée de système d’information documentaire au laboratoire Histoire et Sources des Mondes Antiques (Hisoma, MSH MOM). E. Morlock est chargée du soutien aux projets de digital humanities (édition électronique, constitution de corpus, curation numérique)
14h45-15h30 : Retours d’expérience de Sarah Cadorel et Emilie Groshens, respectivement archiviste et chargée d’études documentaires au Centre de données socio-politiques (CDSP, Sciences Po Paris). Toutes deux sont chargées d’étude pour le projet beQuali, banque d’enquêtes qualitatives en sciences sociales
15h30-16h : pause
16h-16h45 : « Quelles compétences et quels modes de formations pour les professionnels de l’IST ? » : perspectives nationales et bilan d’étape des travaux du segment 9 (Formation, compétences, usages) de la Bibliothèque scientifique numérique (BSN), par Joanna Janik de la Direction de l’information scientifique et technique du CNRS
16h45-17h : conclusion de l’après-midi par Olivier Le Deuff, enseignant-chercheur en sciences de l’information et de la communication à l’Université Bordeaux Montaigne (laboratoire Mica – Médiation, Communication, Information, Art)

Informations pratiques

URFIST de Bordeaux
4 avenue Denis Diderot
CS 70051
33607 PESSAC CEDEX

Rédiger un article professionnel : méthode et enjeux pour les professionnels de l’information (stage sur 2 jours)

Infos pratiques

17-18/12/2015

Pessac – Bibliothèque universitaire Droit-Lettres – Salle Urfist 1er étage
9 heures sur 2 journées
J1 : 9h30-16h30 ; J2 : 9h30-12h30

S’inscrire en ligne

Objectifs

Acquérir des méthodes d’écriture adaptées à la rédaction d’articles professionnels : structuration du texte, style, citation des sources, application des consignes aux auteurs
Développer une stratégie de publication adaptée à un profil de praticien : respect de la déontologie, des conditions de légalité dans lesquelles s’écrit le texte ; identification des revues ; mise en œuvre d’une stratégie de publication ; comprendre les attentes des directeurs éditoriaux
Connaître l’univers éditorial des textes professionnels
Connaître les principes d’une rédaction professionnelle collaborative et les mettre en œuvre

Programme

Avertissement : le stage n’est pas une formation de formateur à la rédaction d’article scientifique. Il ne s’agit pas non plus d’un stage dédié à la rédaction de rapports d’activités ou de procédures.
Le stage cible les professionnels de l’information et non pas les doctorants ou chercheurs.
Le stage cible en priorité les professionnels de l’information ; les demandeurs ayant un profil autre ne sont pas prioritaires.

La formation s’adresse aux professionnels de l’information souhaitant acquérir ou consolider leurs méthodes de rédaction de publications professionnelles.
Les professionnels de l’information forment l’une des communautés professionnelles les plus « éligibles » à la rédaction professionnelle. Pour autant, cette pratique nécessite des compétences sensiblement différentes de celles que mobilisent au quotidien les professionnels de l’information pour rédiger leurs écrits. L’article professionnel se distingue également de l’article scientifique de par sa forme, la méthodologie requise et ses objectifs.
Le stage cible donc les professionnels de l’information qui sont amenés à rédiger des textes professionnels, dans la pluralité de leur typologie. La formation apporte aux stagiaires les connaissances et les méthodes nécessaires pour mettre en pratique une rédaction professionnelle maîtrisée.
Le ciblage du lieu de publication du texte professionnel, le décryptage des attentes éditoriales de la commande de texte, l’identification du lectorat qui se penchera sur le texte, la «négociation» de ses contraintes, la structure et le style à mobiliser, et jusqu’aux aspects formels du texte seront abordés en détails durant ce stage.
Des exercices baliseront l’avancée des contenus de manière à faire progresser le stagiaire.
Enfin, l’intervenante donnera des clés pour organiser et mettre en œuvre la rédaction professionnelle collaborative de deux jusqu’à une dizaine de co-auteurs.

Intervenant : Chérifa Boukacem-Zeghmouri est enseignant-chercheur en sciences de l’information et de la communication. Co-responsable de l’Urfist de Lyon, C. Boukacem-Zeghmouri s’est spécialisée plus particulièrement dans le domaine des sciences exactes et médicales, la recherche d’information et l’édition scientifique numérique. Elle anime régulièrement des formations à la rédaction d’articles en sciences dures et à la stratégie de publication.
Pour consulter les publications de C. Boukacem-Zeghmouri dans HAL : http://bit.ly/1V2q6ie

Pré-requis

Avoir un projet de publication. La formation est ouverte aux professionnels de l’information ayant ou non une expérience de publication professionnelle.

Organiser un événement scientifique avec la plateforme Sciencesconf

Sciencesconf.org est une plateforme web accessible gratuitement ; Sciencesconf s’adresse aux organisateurs de colloques, workshops ou réunions scientifiques. Cette application est réservée aux établissements de l’enseignement et de la recherche et ne nécessite aucune infrastructure  informatique locale. Chaque site web créé avec Sciencesconf est personnalisable.

Cette plateforme multi-langues et configurable facilite les différentes étapes de déroulement d’une conférence depuis la réception des communications jusqu’à l’édition automatique des actes en passant par la relecture et la programmation des thématiques.

  • 26/05/2015
  • 9h30-12h30 ; 13h30-17h30
  • Lieu : salle de formation Urfist, Bibliothèque Droit-Lettres, 4 avenue D. Diderot 33607 Pessac – 1er étage
  • Contenus : Identifier les fonctionnalités principales de la plateforme ; connaître les modules ; administrer le site web : personnalisation, mise à jour des données, utilisation des modèles
  • Publics prioritaires : chercheurs, enseignants-chercheurs, doctorants toutes disciplines
  • Autres catégories de publics : sous réserve des places disponibles
  • Pré-requis : aucun
  • Intervenant : Yannick Barborini est chef de projet Sciencesconf au Centre pour la Communication Scientifique Directe (CCSD).
  • S’inscrire
  • Ce stage peut vous intéresser : Communication scientifique orale et visuelle, Concevoir un poster avec Inkscape

Formations pour les doctorants ED Droit

En collaboration avec l’École Doctorale Droit (Université de Bordeaux) et la plateforme documentaire Droit Science politique Économie Gestion (direction de la documentation), l’Urfist organise des formations réservées aux doctorants de cette école doctorale.

Pour connaître les modalités d’inscription aux stages

Programme 2015

Concevoir un dispositif de veille juridique
29 et 30/01/2015. Il n’est pas possible d’assister partiellement à la formation.
J1 : 14h30-17h30 ; J2 : 9h30-16h30
Intervenant : E. Barthe, documentaliste juridique au cabinet Proskauer Rose LLP (Paris)
Pourquoi suivre ce stage? La documentation et l’information juridiques présentent des spécificités dont il faut tenir compte pour mettre en œuvre une stratégie de veille efficace. Le stage vous permet de mieux évaluer vos besoins, d’identifier les gisements d’information juridique et leurs caractéristiques, d’évaluer les résultats obtenus.

Méthodologie de la recherche documentaire en droit
03/02/2015
9h-12h30
Intervenant : P. Gravier, responsable de la BU Droit de l’université de Bordeaux, conservateur des bibliothèques
Pourquoi suivre ce stage? Le stage vous permet d’affermir vos compétences en recherche documentaire : comment et où chercher? comment exploiter au mieux les ressources disponibles en bibliothèques? comment nommer ce que l’on cherche? comment valoriser ce que l’on a trouvé?
Utilisation avancée des ressources documentaires juridiques
09/03/2015 OU 16/03/2015
9h-13h (horaires identiques pour les 2 sessions)
Intervenant : C. Grard, coordinatrice des bibliothèques associées en droit et économie
Pourquoi suivre ce stage? Le stage prend la forme d’un atelier. Le formateur travaille avec les participants sur leur sujet de thèse afin de leur montrer les fonctionnalités et outils les plus adaptés à leurs besoins. Le contenu des 2 sessions est similaire. Il n’est pas possible d’assister aux 2 sessions.
Structurer un document long avec Word 2010 : initiation à la feuille de style
19/02/2015
9h30-16h30
Intervenant : Chr. Bulot, enseignant au Collège Santé de l’université de Bordeaux
Pourquoi suivre ce stage? Rédiger un document de plusieurs centaines de pages peut s’avérer fastidieux sans recours à une feuille de style. La feuille de style permet de gagner du temps dans la rédaction et d’aboutir à un document mieux structuré.

La boîte à outils du doctorant en lettres et sciences humaines : de la thèse à la publication
04/02/2015
9h30-16h30
Intervenant : S. Granger, responsable de l’Urfist, conservateur des bibliothèques
Pourquoi suivre ce stage? L’après soutenance se prépare dès la phase de rédaction de la thèse. Le stage permet de faire un point sur les droits et devoirs du doctorant en tant qu’auteur, de mieux connaître le monde de l’édition scientifique en sciences humaines et sociales (éditeurs commerciaux, open access, etc.)

École doctorale Droit :
ed-droit@u-bordeaux.fr
Bât. A Bureau 11
05 56 84 40 55
lundi-jeudi : 8h30-12h/13h30-16h30
vendredi : 8h30-12h

 

Initiation à l’analyse exploratoire de données avec FactoMineR : débuter avec le logiciel

Source : http://factominer.free.fr/index_fr.html

FactoMineR est un package R dédié à l’analyse exploratoire multidimensionnelle de données (à la française). Il a été développé et il est maintenu par François Husson, Julie Josse, Sébastien Lê, d’Agrocampus Rennes, et Jérémy Mazet.

Pourquoi utiliser FactoMineR?

  1. Il permet de réaliser des analyses classiques telles que l’analyse en composantes principales (ACP), l’analyse des correspondances (AC), l’analyse des correspondances multiples (ACM) ainsi que des analyses plus avancées
  2. Il permet l’ajout d’information supplémentaire telle que des individus et/ou des variables supplémentaires
  3. Il fournit un point de vue géométrique et de nombreuses sorties graphiques
  4. Il fournit de nombreuses aides à l’interprétation (description automatique des axes, nombreux indicateurs, …)
  5. Il peut prendre en compte diverses structures sur les données (structure sur les variables, hiérarchie sur les variables, structure sur les individus)
  6. Une interface graphique est disponible

Le nouveau menu de FactoMineR est disponible en français et en anglais. La version 1.24 de FactoMineR propose un nouveau module graphique qui « optimise » la position des libellés pour éviter qu’ils se chevauchent, qui permet de sélectionner les éléments que l’on souhaite visualiser, etc. (slides, vidéo).

En savoir plus sur FactoMineR : Lê, S., Josse, J. & Husson, F. (2008). FactoMineR: An R Package for Multivariate Analysis. Journal of Statistical Software. 25(1). pp. 1-18

 

 

Citer ses références juridiques : normes et bibliographie

Parmi les différentes normes existantes, laquelle choisir? Quelles sont les grandes règles à respecter pour concevoir une bibliographie dans les règles de l’art dans le domaine juridique? L’objectif du stage est de permettre aux participants de : valoriser leur travail de recherche documentaire, choisir une forme efficace de présentation de ses références, connaître les usages et abréviations en matière de mentions d’œuvres, savoir citer des sites web, des ressources en ligne ou des sources particulières, faire ses choix pour l’organisation de la bibliographie.

Attention, le stage n’est pas une formation à Zotero.

  • 16/04/2015
  • 9h30-15h30
  • Lieu : salle de formation Urfist, Bibliothèque Droit-Lettres, 4 avenue D. Diderot 33607 Pessac – 1er étage
  • Contenus : intérêt des références et de la bibliographie ; intérêt de choisir une norme de présentation ; les normes de référence aux différentes sources (textes normatifs, livres, articles, mélanges, sites web…) ; normes et usages, emplois des abréviations traditionnelles ; quelques principes d’organisation de la bibliographie
  • Publics : doctorants en sciences juridiques uniquement. Le stage n’est pas adapté aux professionnels de l’information produisant des bibliographies.
  • Pré-requis : pas de pré-requis, le stage est accessible également aux personnes qui n’ont pas encore commencé de rédaction ou le travail de recherche. Attention : le stage n’inclut pas la formation à un logiciel de gestion automatisée des références bibliographiques comme Zotero.
  • Intervenant : diplômé de Bordeaux IV, Bordeaux 3 et l’IEP de Bordeaux, Pierre Gravier est conservateur des bibliothèques, responsable de la bibliothèque de Droit, science politique et économie, de l’Université de Bordeaux.
  • S’inscrire
  • Ce stage peut vous intéresser : Gérer ses références bibliographiques avec Zotero

Mesurer et valoriser : journée d’étude sur la bibliométrie et la visibilité des publications

Le Service Commun de la Documentation de l’Université de Limoges et l’Urfist de Bordeaux co organisent une journée d’étude sur la bibliométrie.

Facteur d’impact, h-index et autres outils bibliométriques peuvent faire croire que l’évaluation des publications scientifiques ne vise plus tant à garantir la qualité du travail d’un chercheur qu’à assurer sa propre visibilité et celle de son établissement au sein de la communauté scientifique. Or dans un contexte d’explosion du nombre des publications, de profondes mutations du paysage universitaire et d’une concurrence accrue entre les établissements de recherche, cette visibilité est devenue un enjeu vital pour assurer la continuité et la pérennité de la recherche publique.

Cette journée d’étude se propose donc de revenir sur la bibliométrie, c’est-à-dire les méthodes et les outils utilisés pour mesurer l’activité scientifique et les changements que cela entraine sur l’activité scientifique elle-même, mais aussi de montrer aux chercheurs des méthodes pour valoriser au mieux leurs publications, tout en assurant la visibilité des établissements dont ils dépendent.

Programme

« Bibliométrie et production scientifique des entités de recherche« : Manuel Durand-Barthez, co responsable de l’Urfist de Paris, animateur d’un groupe de travail et de réflexion sur l’évaluation et la caractérisation de la recherche.

« La mise en place de la signature normalisée à l’université de Bordeaux : retour d’expérience« , Jérôme Poumeyrol, responsable de la mission transversale « Soutien à la recherche », direction de la documentation, Université de Bordeaux.

« Présenter les résultats de la recherche », Sophie Duchaussoy, chargée d’études à la cellule de bibliométrie de l’Inserm

Table ronde : « Bibliométrie, visibilité et pratique de la recherche »

Valoriser sa recherche en sciences et technologie grâce à l’open access

Le terme d’open access se traduit en français par « libre accès ». L’objectif de l’open access est de diffuser les travaux de recherche, sans contrainte financière pour le lecteur et tout en respectant le droit d’auteur ainsi que les autorisations accordées par les éditeurs commerciaux.

Pour un chercheur, l’open access constitue aussi un mode de valorisation de ses travaux complémentaire de la diffusion assurée par des éditeurs commerciaux. Ainsi, des éditeurs tels que Elsevier ou l’IEEE autorisent leurs auteurs à publier leurs travaux également en libre accès.

Que peut-on diffuser en open access (pre-print, post-print, PDF auteur)? Comment identifier les sites adaptés à sa discipline et accroître sa visibilité sur internet? Quelles sont les contraintes à prendre en compte pour respecter le droit d’auteur ainsi que les termes du contrat passé avec un éditeur, le cas échéant? Quels sont les avantages de la diffusion en libre accès pour un auteur?

Le stage cible les sciences et technologies.

Partenaire : Ensam, Centre de Bordeaux-Talence





  • 10/04/2015
  • 9h-13h
  • Lieu : salle de formation Urfist, Bibliothèque Droit-Lettres, 4 avenue D. Diderot 33607 Pessac – 1er étage
  • Contenus : rappel des principes de l’open access (avantages et enjeux pour les chercheurs en sciences et technologies), sélection de ressources en open access disponibles en sciences et technologies, exercices sur la publication en open access : travail sur des cas pratiques.
  • Publics : doctorants, enseignants-chercheurs, chercheurs ; professionnels de l’information en sciences et technologies exerçant des missions en lien avec la valorisation de la recherche
  • Pré-requis : aucun
  • Intervenant : ancienne allocataire de recherche en littérature à Grenoble 3, Sabrina Granger est conservateur des bibliothèques et responsable de l’Urfist de Bordeaux.
  • S’inscrire
  • Ce stage peut vous intéresser : Gérer ses références bibliographiques avec Zotero ; Organiser un événement scientifique avec la plateforme Sciencesconf ; Valoriser sa production scientifique avec HAL (formation pour les auteurs ; formation pour les gestionnaires de collection)

Réseaux sociaux de chercheurs : initiation aux enjeux documentaires (professionnels de l’information)

L’objectif du stage est de permettre aux professionnels de l’information de mieux appréhender les enjeux inhérents à l’utilisation des réseaux sociaux de chercheurs par les publiants. Ce stage peut aider les professionnels de l’information à identifier des problématiques potentielles d’intervention auprès des chercheurs.

Il ne s’agit pas d’une formation ciblant la création de profil sur un réseau social, mais d’un stage permettant de faire le point sur :

  • les notions clés et les définitions : quelles sont les particularités des réseaux sociaux de chercheurs par rapport aux autres outils généralistes pouvant aussi être utilisés par des chercheurs
  • les enjeux à l’échelle individuelle (auteur) et à l’échelle d’une collectivité (institution, unité de recherche)
  • les avantages et les limites des réseaux sociaux de chercheurs : problématiques juridiques, diffusion des travaux de recherche, etc.

Le stage s’adresse à des participants issus de toutes disciplines.

 

 

Réseaux sociaux de chercheurs : initiation aux outils et enjeux pour les auteurs

La création d’un profil sur un réseau social de chercheur semble désormais faire partie des pratiques courantes des auteurs. Curriculum vitae en ligne, outil de veille, dispositif d’identification de collaborateurs, mais aussi vitrine de sa recherche : les réseaux sociaux chercheurs présentent toutes ces facettes. Mais quels sont les points de vigilance à prendre en compte au moment de rejoindre un réseau social de chercheurs, notamment, en matière de diffusion de travaux de recherche? Quels sont les outils principaux et leurs différences? Quels sont les services proposés?

La formation se concentre sur les réseaux sociaux de chercheurs (ResearchGate, Academia) par opposition aux réseaux sociaux professionnels généralistes (LinkedIn, Viadéo) et ne vise pas à faire créer aux participants leur profil pendant le stage, mais à leur donner des outils d’aide à la décision. Le stage est particulièrement adapté aux auteurs n’ayant pas encore de profil sur un réseau social de chercheurs.

Optimiser la rédaction de documents longs avec LaTeX (initiation)

LaTeX est un langage de balisage de documents structurés qui vise à décharger l’auteur des préoccupations de présentation, celle-ci étant confiée à une feuille de style (appelée « classe »). LaTeX n’est donc pas un éditeur de type WYSIWYG (what you see is what you get) puisqu’il contraint l’utilisateur à séparer le fond de la forme, à l’instar d’un format tel que le XHTML. Si cette particularité de LaTeX peut rebuter les utilisateurs potentiels, il s’avère que la distinction entre le fond et la forme pousse à structurer dès le départ le document et garantit un rendu beaucoup plus abouti. Très puissant, LaTeX permet de gérer de manière optimale la typographie, les références croisées, la bibliographie, les index, les graphiques et les équations.

Si LaTeX est fréquemment utilisé par les mathématiciens pour écrire leurs articles scientifiques (la plupart des éditeurs de revues mathématiques exigent d’ailleurs ce format), LaTeX est aussi utilisé en sciences sociales où la puissance du langage TeX permet entre autres une gestion simple et efficace de notes de bas de page en grand nombre.

Ce stage d’un jour et demi permet de passer sans délai à la mise en application.

En savoir plus sur LaTeX

Initiation à l’analyse de corpus de textes avec le logiciel libre TXM

Qu’est-ce que la textométrie?

La textométrie, née en France dans les années 80, a développé des techniques puissantes et originales pour l’analyse de grands corpus de textes. Reprenant les acquis de la lexicométrie et de la statistique textuelle, elle propose des outils et des méthodes éprouvés dans de multiples branches des SHS et statistiquement solidement fondés. Le projet Textométrie fédère les développements logiciels académiques du domaine pour mettre en place une plateforme modulaire et open-source appelée TXM. Il s’agit à la fois d’une opération patrimoniale au rayonnement international et du lancement d’une nouvelle génération de recherche textométrique, en synergie avec les technologies de corpus actuelles (Unicode, XML, TEI, outils de TAL, CQP, R).

La formation est animée par Serge Heiden, responsable du projet « Textométrie ».

Pourquoi utiliser TXM?

La plateforme TXM est couramment utilisée par des projets de recherche de différentes disciplines de lettres, sciences humaines et sociales comme l’histoire, la littérature, la géographie, la linguistique, la sociologie et les sciences politiques. La plateforme TXM combine des techniques puissantes et originales pour l’analyse de grands corpus de textes au moyen de composants modulaires et open-source. TXM permet actuellement de : construire des sous-corpus à partir de différentes métadonnées (propriétés) des textes (eg. : date de publication, auteur, type de texte, thème) ; construire des partitions à partir de ces propriétés permettant d’appliquer des calculs de contraste entre les textes ou entre groupes de textes ; produire des concordances kwic à partir de recherches de motifs lexicaux complexes – construits à partir des propriétés des mots (eg. : « un mot de lemme ’aimer’ suivi à au plus de 2 mots d’un mot commençant par ’pouv’) ; calculer le vocabulaire d’ensemble d’un corpus ou la liste des valeurs attestées d’une propriété de mot donnée ; construire  une édition HTML de base pour chaque texte du corpus et des tableaux de contingence croisant les mots, les textes et leurs structures, etc.

 

Initiation à la visualisation de données relationnelles et de réseaux complexes avec Gephi

Gephi est un logiciel pour visualiser, analyser et explorer en temps réel les graphes (aussi appelés réseaux ou données relationnelles) de tout type. Sorte de Photoshop pour les réseaux, l’utilisateur interagit avec la représentation graphique, manipule les structures, formes et couleurs pour en révéler les propriétés cachées via des saillances visuelles.

L’objectif est de faciliter l’analyse de données dans la génération d’hypothèses, la découverte intuitive de patterns, l’isolement de singularités ou la détection d’erreurs liées à la captation des données. C’est un outil complémentaire à l’analyse statistique, qui se positionne dans le mouvement de l’Analyse Exploratoire des Données.

Source : site web Plume (Promouvoir les logiciels utiles maîtrisés et économiques dans l’enseignement supérieur et la recherche)

Le stage permet de connaître les principes de la cartographie de réseaux de données ; explorer les possibilités d’analyse et de représentations visuelles de Gephi ; expérimenter avec des jeux de données de complexité croissante.

  • 27/03/2015
  • 9h30-16h30
  • Lieu : salle de formation Urfist, Bibliothèque Droit-Lettres, 4 avenue D. Diderot 33607 Pessac – 1er étage
  • Contenus : rappel d’aspects théoriques sur les graphes : degré d’un nœud, chemin le plus court, distance, centralités, etc. et exemples d’applications ; prise en main du logiciel Gephi : interface, plugins, communauté, formats d’échanges, TP ; importer ses données : construire des fichiers prêts à l’exploitation ; générer ses cartographies : taille et couleur, spatialisation, filtres ; générer ses livrables cartographiques : cartographies figées, cartographies dynamiques
  • Publics : doctorants, enseignants-chercheurs et chercheurs, toutes disciplines confondues
  • Pré-requis : connaître les principes de la cartographie de réseaux de données ; avoir un projet dans le domaine de la cartographie de réseaux. Il n’est pas obligatoire d’avoir suivi le stage « Visualiser et cartographier ses données » (26/03) pour assister à la formation.
  • Intervenant : consultant formateur en représentation de données et cartographie de l’information, Denis Parade s’appuie sur une expertise de nombreuses années dans les technologies web. D. Parade intervient dans des centres de formations sur les thèmes de la création de sites Internet, HTML5, le référencement, la gestion de projet TIC et la visualisation de données.
  • S’inscrire
  • Ce stage peut vous intéresser : Visualiser et cartographier ses données ; Communication scientifique orale et visuelle  ; Communiquer les résultats de ses travaux de recherche : élaborer une stratégie de publication

 

Visualiser et cartographier ses données

Une fois ses données collectées, comment les mettre en forme de la manière la plus adaptée? Les enjeux inhérents à la visualisation des données vont au-delà des problématiques de présentation ou de graphisme : il s’agit de mieux explorer les informations collectées et de médiatiser les résultats obtenus. Le stage a un triple objectif : connaître les principes et les enjeux de la cartographie de l’information sur le web ; connaître les outils et les méthodologies de la cartographie ; découvrir des réalisations et des projets en cours. Le stage mêle apports méthodologiques et exercices. Les personnes intéressées par les outils de visualisation pour hiérarchiser et mettre en relation des notions sont invitées à s’inscrire au stage sur le mindmapping des 05 et 06 février 2015. Les 2 stages sont différents.

  • 26/03/2015
  • 9h30-16h30
  • Lieu : salle de formation Urfist, Bibliothèque Droit-Lettres, 4 avenue D. Diderot 33607 Pessac – 1er étage
  • Contenus : panorama des modes de visualisation, définition de la notion de cartographie de données ; rappels de règles essentielles pour la présentation graphique de données ; analyse de cas (exemples et contre-exemples) ; sensibilisation aux aspects juridiques de la réutilisation de données ; les sources de données : open data, le big data, le data journalisme ; choix d’un graphique adapté ; quels graphiques pour quelles données ; outils en ligne pour cartographier et visualiser graphiquement vos données ; série de travaux pratiques ; cartographie de réseaux de données relationnelles, cartographie d’un discours
  • Publics : doctorants, enseignants-chercheurs et chercheurs, toutes disciplines confondues
  • Autres publics : sous réserve des places disponibles
  • Pré-requis : bonne maîtrise des navigateurs internet
  • Intervenant : consultant formateur en représentation de données et cartographie de l’information, Denis Parade s’appuie sur une expertise de nombreuses années dans les technologies web. D. Parade intervient dans des centres de formations sur les thèmes de la création de sites Internet, HTML5, le référencement, la gestion de projet TIC et la visualisation de données.
  • S’inscrire
  • Ce stage peut vous intéresser : Initiation à la visualisation de données relationnelles et de réseaux complexes avec Gephi ; Communication scientifique orale et visuelle : conception de supports visuels efficaces pour les présentations orales ; Communiquer les résultats de ses travaux de recherche : élaborer une stratégie de publication

Concevoir une stratégie de veille : collecter, classer, sauvegarder et diffuser ses données

Les outils de veille vous peuvent vous permettre de collecter et partager vos recherches de manière pérenne et simple. A condition toutefois de choisir l’outil en adéquation avec ses objectifs de diffusion et d’archivage des données. Combien de projets de veille échouent faute d’une bonne adéquation entre les besoins de l’utilisateur et le choix de l’outil?

Le stage proposé par l’Urfist vous donne les clés pour mettre en place une veille efficace et vous familiariser avec les enjeux de l’archivage et de la diffusion des contenus collectés sur le web.

  • 02/03/2015
  • 9h30-16h30
  • Lieu : salle de formation Urfist, Bibliothèque Droit-Lettres, 4 avenue D. Diderot 33607 Pessac – 1er étage
  • Contenus : définir les prérequis pour concevoir un dispositif de veille : évaluer ses besoins et ses contraintes ; identifier les différents types de veille (anticipation, réactivité, etc.) ; définir les sujets à suivre et identifier les ressources disponibles ; formaliser son plan de veille ; hiérarchiser les contenus ; choisir les outils adaptés à ses besoins : panorama des outils de veilles spécialisés ; utiliser les réseaux sociaux comme outils de veille ; avantages et limites des outils présentés ; apports méthodologiques et exercices.
    Le stage n’a pas d’ancrage disciplinaire. Les publics travaillant dans le domaine du droit sont invités à suivre le stage « Concevoir un dispositif de veille juridique »
  • Publics prioritaires : doctorants, chercheurs, enseignants-chercheurs, personnels des universités et des EPST
  • Autres publics : sous réserve des places disponibles
  • Pré-requis : savoir utiliser un navigateur (ouvrir des onglets et des fenêtres, naviguer entre plusieurs écrans et fenêtres)
  • Intervenant : formateur indépendant, Xavier Delengaigne s’est spécialisé dans : le management de l’information (personal knowledge management, veille), les outils de visualisation de données (mind mapping, concept mapping), les techniques d’efficacité professionnelle et la communication web (écriture web, micro blogging). Il est l’auteur d’une dizaine d’ouvrages sur ces thématiques.
  • S’inscrire
  • Ce stage peut vous intéresser : Organiser un événement scientifique avec la plateforme Sciencesconf ; Gérer facilement ses références bibliographiques avec Zotero

 

 

Communiquer les résultats de ses travaux de recherche : élaborer une stratégie de publication et connaître les règles de base pour la structuration et la rédaction des articles scientifiques (stage sur 2 jours)

Le paysage de la communication scientifique en sciences, technologies et santé connaît de profondes mutations et il est parfois difficile pour un auteur de maîtriser pleinement les règles de la communication scientifique écrite.

Comment élaborer une véritable stratégie de publication de ses résultats de recherche? Quelles sont les fondamentaux pour structurer et rédiger ses articles scientifiques? Quelles sont les règles éthiques à respecter? Que publier, à quel moment et sous quelle forme : article, communication à un congrès, brevet? Comment sélectionner son périodique de publication? Comment rédiger son titre? comment structurer son résumé? quels sont les points de vigilance pour l’auteur souhaitant insérer des figures et des tableaux?

L’accent est mis sur les pratiques rédactionnelles en sciences, technologies et santé. Le contenu est moins adapté à des chercheurs en sciences humaines et sociales.

 

Structurer et hiérarchiser ses idées : introduction au mindmapping

Mindmapping, outils de visualisation des données : quelle technique pour quels besoins?

Si le visualmapping permet de recourir à de multiples formes de représentation en fonction de son projet, le mindmapping est une technique bien déterminée de représentation des données. Ainsi, en pratiquant le visualmapping, on choisira par exemple une frise chronologique pour poser les étapes d’un projet dans le temps. Une mind map permet de disposer les données de façon arborescente en partant du centre vers l’extérieur sous formes de branches : les notions s’articulent autour d’une idée centrale, située au centre de la mind map. Les termes et dessins sont choisis librement en vue de faciliter la construction d’un plan, de structurer un document, mais aussi de mieux mémoriser les informations, notamment dans la perspective d’une présentation orale. Le mindmapping peut également être exploité en situation pédagogique.

  • 05 et 06/02/2015. Il n’est pas possible d’assister partiellement à la formation
  • J1 : 14h-17h ; J2 : 9h30-17h
  • Lieu : salle de formation Urfist, Bibliothèque Droit-Lettres, 4 avenue D. Diderot 33607 Pessac – 1er étage
  • Contenus : organisation des idées et construction d’un plan ; méthodes de rédaction (plan, arborescence) ; prise en main d’un logiciel de mindmapping
  • Publics prioritaires : doctorants, enseignants-chercheurs et chercheurs, professionnels amenés à construire des documents complexes
  • Autres publics : sous réserve des places disponibles
  • Pré-requis : aucun
  • Intervenant : Formateur indépendant, François Magnan intervient régulièrement auprès d’un public de professionnels de l’information ou de la communication, mais également auprès de chercheurs, journalistes, ou encore, en entreprise. Fr. Magnan travaille également régulièrement pour l’Association Professionnelle des Documentalistes (ADBS) et intervient dans le cadre du Master Ingénierie du Document Électronique de l’université Toulouse Le Mirail.
  • S’inscrire
  • Ce stage peut vous intéresser : Communiquer les résultats de ses travaux de recherche : élaborer une stratégie de publication – sciences, technologies, santé ; Concevoir une stratégie de veille : collecter, classer, sauvegarder et diffuser ses données