L’Urfist de Lyon et le réseau des Urfist vous invitent à une semaine consacrée à la science ouverte, #OSW2021Lyon.
Logo de l’Open Science Week du Réseau Urfist
Elle se tiendra intégralement en ligne du 22 au 25 juin 2021.
Au programme : les cahiers de laboratoires, la médiation scientifique, la reproductibilité de la science, la science participative, la prise de note, les enquêtes sur les pratiques numériques, etc. Des conférences et ateliers de 45 minutes à 2h se succéderont les mardi 22, mercredi 23 et vendredi 25 juin.
Au cœur de ce programme, le Colloque Opensp (jeudi 24 juin) sera dédié à la question du partage et de la diffusion des enquêtes sur les pratiques numériques des chercheurs.
Les inscriptions aux sessions de la semaine #OSW2021Lyon sont gratuites mais obligatoires. Vous pouvez vous inscrire à plusieurs ateliers ou séances. Une inscription est nécessaire pour chaque session.
L’Urfist de Bordeaux, en partenariat avec Médiaquitaine et Média Centre Ouest, a le plaisir d’organiser un atelier avec David R. Lankes, professeur en sciences de l’information et des bibliothèques de l’Université de South-Carolina.
David Lankes, 2020
David R. Lankes est l’auteur de « L’Atlas de la Nouvelle Bibliothéconomie » ou encore d' »Exigeons de meilleures bibliothèques ». Invité par l’Enssib comme chercheur invité, il devait venir en 2020 en France. La situation sanitaire a repoussé encore et encore sa venue et dans l’attente, nous organisons avec lui et avec l’Enssib, un David Lankes Digital Tour. Il passera donc virtuellement en France, d’abord à l’Enssib mi-mai pour parler de diversité, puis en Nouvelle Aquitaine pour parler de la neutralité des bibliothèques.
Cette rencontre-atelier sera l’occasion de découvrir ce que la neutralité des bibliothèques signifie aux Etats-Unis, d’échanger avec David Lankes sur ce qu’elle signifie pour des bibliothécaires français, de discuter des enjeux de l’engagement des bibliothèques : open science, développement durable, égalité, diversité, etc. Ces discussions nourriront les réflexions de David Lankes pour la mise à jour de l’Atlas de la nouvelle bibliothéconomie.
Pitch de l’atelier : « Les concepts bibliothéconomiques d’objectivité et de neutralité sont de fait régulièrement remis en question. Or, éliminer les préjugés est non seulement impossible, mais ceux-ci, qui en vérité caractérisent notre vision du monde, contribuent à renforcer la confiance et l’empathie que nous pouvons avoir avec les communautés que nous servons. Ainsi, les bibliothécaires ne sont pas neutres en ce qui concerne des concepts tels que l’accès équitable, la préservation de la vie privée ou l’importance de l’alphabétisation. Un meilleur concept pourrait être emprunté à la communauté scientifique : l’honnêteté intellectuelle. Ici, les préjugés sont reconnus dans la mesure du possible, considérés comme existants même lorsqu’ils ne peuvent pas être facilement identifiés, et jouent un rôle dans les concepts émergents de crédibilité et de confiance. Dans cet atelier, nous explorerons l’interaction complexe des préjugés, de la confiance et de la mission de service public.«
David R. Lankes est le directeur de l’école de Science de l’Information de l’Université de Caroline du Sud (USA). Il est également chercheur invité à l’Enssib et récipiendaire de du Prix Ken Haycock 2016, un prix décerné par l’American Library Association pour la promotion de la bibliothéconomie. Son livre, The Atlas of New Librarianship, a gagné en 2012 le Prix ABC-CLIO/Greenwood du meiller livre de bibliothéconomie. Lankes est un avocat passionné des bibliothèques et de leur rôle essentiel dans la société. Vous pouvez regarder le travail de David Lankes sur son site : https://davidlankes.org/
La rencontre et l’atelier se tiendront en anglais.
Vous souhaitez découvrir ce qui se cache derrière Org-mode ou ce que vous permettre R, comment aborder les données de la recherche ou encore si vous avez besoin d’identifiants chercheurs ? Nous vous proposons une série de formations « découverte » en 2h, pour comprendre les enjeux, pour apprécier l’utilité des outils pour vos recherches, et pour vous donner envie de vous lancer. Ces formations sont ouvertes à tous les publics de l’Urfist de Bordeaux.
Vous êtes déjà convaincus ? Vous voulez apprendre à utiliser ces outils, améliorer vos pratiques, vous construire de nouvelles habitudes de travail ? Nous vous proposons une série de formations d’une à deux journées sur le traitement des statistiques avec R, sur la communication scientifique avec les médias, sur la rédaction de posters, ou encore sur la gestion de vos bibliographies.
Les questions de droit et de propriété intellectuelle retiennent votre attention ? Nous vous proposons une série de stages dédiée à ce thème : publier en open access, conclure un contrat d’édition, utiliser des images, protéger des données personnelles, etc.
Pour voir le programme d’un seul coup d’œil, voici le poster du semestre.
Doctorants et docteurs : boostez votre recherche d’emploi avec les outils numériques – demandeur : association Aquidoc
Atelier organisé dans le cadre du forum annuel de l’association Aquidoc
Intervenant : Geneviève Delporte est consultante et formatrice en stratégie de communication multicanale. Elle s’est spécialisée dans l’accompagnement des entreprises aux pratiques du numérique. G. Delporte a occupé des postes de chargée de communication et a été directrice adjointe de cabinet pour la Ville de Savigny-le-Temple.
Formation organisée à Pau dans le cadre des journées des doctorants (ED « Sciences exactes et leurs applications »)
Intervenants : docteur en chimie des polymères, Vincent Bergeot est formateur indépendant. Joris Sansen, doctorant au Labri (Laboratoire Bordelais de Recherche en Inforatique) conduit ses travaux au sein de l’équipe MaBioVis (Modèles et Algorithmes pour la Bioinformatique et la Visualisation d’informations)
Formation organisée dans les locaux de la direction de la documentation
Intervenants : bibliothécaire au SCD de l’UPPA, Joanne Guene-Mercher est en charge des formations documentaires. Elle fait partie des pilotes du projet pédagogie innovante. Krassimira Lacoustete est ingénieur pédagogique à la Direction du numérique de l’UPPA ; elle exerce ses missions au sein du pôle « Accompagnement et ressources Tice ».
Formation organisée dans les locaux de l’Université Bordeaux Montaigne
Intervenant : Elisa de Castro Guerra, formatrice indépendante spécialisée dans le web et le graphisme. Ses études en sciences humaines l’ont conduite à réfléchir à l’ergonomie et l’utilisabilité des interfaces logiciels et web.
Formation organisée dans les locaux de l’unité de recherche
Intervenant : conservateur du patrimoine, Florence Clavaud est actuellement chef de projet référentiels aux Archives nationales de France après avoir été déléguée à la formation informatique à l’Ecole nationale des Chartes. Les domaines d’expertise de Florence Clavaud sont les suivants : records management, XML, TEI, EAD, les métadonnées.
Les inscriptions aux formations du prochain semestre organisées par l’unité régionale de formation à l’information scientifique (Urfist) de Bordeaux sont ouvertes.
Acquérir des méthodes d’écriture adaptées à la rédaction d’articles professionnels : structuration du texte, style, citation des sources, application des consignes aux auteurs
Développer une stratégie de publication adaptée à un profil de praticien : respect de la déontologie, des conditions de légalité dans lesquelles s’écrit le texte ; identification des revues ; mise en œuvre d’une stratégie de publication ; comprendre les attentes des directeurs éditoriaux
Connaître l’univers éditorial des textes professionnels
Connaître les principes d’une rédaction professionnelle collaborative et les mettre en œuvre
Programme
Avertissement : le stage n’est pas une formation de formateur à la rédaction d’article scientifique. Il ne s’agit pas non plus d’un stage dédié à la rédaction de rapports d’activités ou de procédures.
Le stage cible les professionnels de l’information et non pas les doctorants ou chercheurs.
Le stage cible en priorité les professionnels de l’information ; les demandeurs ayant un profil autre ne sont pas prioritaires.
La formation s’adresse aux professionnels de l’information souhaitant acquérir ou consolider leurs méthodes de rédaction de publications professionnelles.
Les professionnels de l’information forment l’une des communautés professionnelles les plus « éligibles » à la rédaction professionnelle. Pour autant, cette pratique nécessite des compétences sensiblement différentes de celles que mobilisent au quotidien les professionnels de l’information pour rédiger leurs écrits. L’article professionnel se distingue également de l’article scientifique de par sa forme, la méthodologie requise et ses objectifs.
Le stage cible donc les professionnels de l’information qui sont amenés à rédiger des textes professionnels, dans la pluralité de leur typologie. La formation apporte aux stagiaires les connaissances et les méthodes nécessaires pour mettre en pratique une rédaction professionnelle maîtrisée.
Le ciblage du lieu de publication du texte professionnel, le décryptage des attentes éditoriales de la commande de texte, l’identification du lectorat qui se penchera sur le texte, la «négociation» de ses contraintes, la structure et le style à mobiliser, et jusqu’aux aspects formels du texte seront abordés en détails durant ce stage.
Des exercices baliseront l’avancée des contenus de manière à faire progresser le stagiaire.
Enfin, l’intervenante donnera des clés pour organiser et mettre en œuvre la rédaction professionnelle collaborative de deux jusqu’à une dizaine de co-auteurs.
Intervenant : Chérifa Boukacem-Zeghmouri est enseignant-chercheur en sciences de l’information et de la communication. Co-responsable de l’Urfist de Lyon, C. Boukacem-Zeghmouri s’est spécialisée plus particulièrement dans le domaine des sciences exactes et médicales, la recherche d’information et l’édition scientifique numérique. Elle anime régulièrement des formations à la rédaction d’articles en sciences dures et à la stratégie de publication.
Pour consulter les publications de C. Boukacem-Zeghmouri dans HAL : http://bit.ly/1V2q6ie
Pré-requis
Avoir un projet de publication. La formation est ouverte aux professionnels de l’information ayant ou non une expérience de publication professionnelle.
Sciencesconf.org est une plateforme web accessible gratuitement ; Sciencesconf s’adresse aux organisateurs de colloques, workshops ou réunions scientifiques. Cette application est réservée aux établissements de l’enseignement et de la recherche et ne nécessite aucune infrastructure informatique locale. Chaque site web créé avec Sciencesconf est personnalisable.
Cette plateforme multi-langues et configurable facilite les différentes étapes de déroulement d’une conférence depuis la réception des communications jusqu’à l’édition automatique des actes en passant par la relecture et la programmation des thématiques.
26/05/2015
9h30-12h30 ; 13h30-17h30
Lieu : salle de formation Urfist, Bibliothèque Droit-Lettres, 4 avenue D. Diderot 33607 Pessac – 1er étage
Contenus : Identifier les fonctionnalités principales de la plateforme ; connaître les modules ; administrer le site web : personnalisation, mise à jour des données, utilisation des modèles
Publics prioritaires : chercheurs, enseignants-chercheurs, doctorants toutes disciplines
Autres catégories de publics : sous réserve des places disponibles
Pré-requis : aucun
Intervenant : Yannick Barborini est chef de projet Sciencesconf au Centre pour la Communication Scientifique Directe (CCSD).
Concevoir un dispositif de veille juridique 29 et 30/01/2015. Il n’est pas possible d’assister partiellement à la formation.
J1 : 14h30-17h30 ; J2 : 9h30-16h30 Intervenant : E. Barthe, documentaliste juridique au cabinet Proskauer Rose LLP (Paris) Pourquoi suivre ce stage? La documentation et l’information juridiques présentent des spécificités dont il faut tenir compte pour mettre en œuvre une stratégie de veille efficace. Le stage vous permet de mieux évaluer vos besoins, d’identifier les gisements d’information juridique et leurs caractéristiques, d’évaluer les résultats obtenus.
Méthodologie de la recherche documentaire en droit 03/02/2015 9h-12h30 Intervenant : P. Gravier, responsable de la BU Droit de l’université de Bordeaux, conservateur des bibliothèques Pourquoi suivre ce stage? Le stage vous permet d’affermir vos compétences en recherche documentaire : comment et où chercher? comment exploiter au mieux les ressources disponibles en bibliothèques? comment nommer ce que l’on cherche? comment valoriser ce que l’on a trouvé?
Utilisation avancée des ressources documentaires juridiques 09/03/2015 OU 16/03/2015 9h-13h (horaires identiques pour les 2 sessions) Intervenant : C. Grard, coordinatrice des bibliothèques associées en droit et économie Pourquoi suivre ce stage? Le stage prend la forme d’un atelier. Le formateur travaille avec les participants sur leur sujet de thèse afin de leur montrer les fonctionnalités et outils les plus adaptés à leurs besoins. Le contenu des 2 sessions est similaire. Il n’est pas possible d’assister aux 2 sessions.
Structurer un document long avec Word 2010 : initiation à la feuille de style 19/02/2015 9h30-16h30 Intervenant : Chr. Bulot, enseignant au Collège Santé de l’université de Bordeaux Pourquoi suivre ce stage? Rédiger un document de plusieurs centaines de pages peut s’avérer fastidieux sans recours à une feuille de style. La feuille de style permet de gagner du temps dans la rédaction et d’aboutir à un document mieux structuré.
La boîte à outils du doctorant en lettres et sciences humaines : de la thèse à la publication 04/02/2015 9h30-16h30 Intervenant : S. Granger, responsable de l’Urfist, conservateur des bibliothèques Pourquoi suivre ce stage? L’après soutenance se prépare dès la phase de rédaction de la thèse. Le stage permet de faire un point sur les droits et devoirs du doctorant en tant qu’auteur, de mieux connaître le monde de l’édition scientifique en sciences humaines et sociales (éditeurs commerciaux, open access, etc.)
École doctorale Droit : ed-droit@u-bordeaux.fr Bât. A Bureau 11
05 56 84 40 55
lundi-jeudi : 8h30-12h/13h30-16h30
vendredi : 8h30-12h
FactoMineR est un package R dédié à l’analyse exploratoire multidimensionnellede données (à la française). Il a été développé et il est maintenu par François Husson, Julie Josse, Sébastien Lê, d’Agrocampus Rennes, et Jérémy Mazet.
Pourquoi utiliser FactoMineR?
Il permet de réaliser des analyses classiques telles que l’analyse en composantes principales (ACP), l’analyse des correspondances (AC), l’analyse des correspondances multiples (ACM) ainsi que des analyses plus avancées
Il permet l’ajout d’information supplémentaire telle que des individus et/ou des variables supplémentaires
Il fournit un point de vue géométrique et de nombreuses sorties graphiques
Il fournit de nombreuses aides à l’interprétation (description automatique des axes, nombreux indicateurs, …)
Il peut prendre en compte diverses structures sur les données (structure sur les variables, hiérarchie sur les variables, structure sur les individus)
Une interface graphique est disponible
Le nouveau menu de FactoMineR est disponible en français et en anglais. La version 1.24 de FactoMineR propose un nouveau module graphique qui « optimise » la position des libellés pour éviter qu’ils se chevauchent, qui permet de sélectionner les éléments que l’on souhaite visualiser, etc. (slides, vidéo).
Lieu : salle de formation Urfist, Bibliothèque Droit-Lettres, 4 avenue D. Diderot 33607 Pessac – 1er étage
Contenus : installer et maîtriser l’interface de FactoMineR ; réaliser des analyses classiques (ACP), de l’analyse des correspondances (AC), de l’analyse des correspondances multiples (ACM) ; gérer les ajouts d’information supplémentaire
utiliser le module graphique ; utiliser les aides à l’interprétation (description automatique des axes, nombreux indicateurs, etc.) ; introduction à la gestion des données manquantes en analyse de données (méthodologie) et utiliser le package missMDA
Publics : doctorants, enseignants-chercheurs et chercheurs travaillant dans le domaine de la statistique
Pré-requis : avoir une utilisation courante du logiciel R
Intervenant : directeur de la collection « Pratique de la statistique » aux Presses Universitaires de Rennes depuis mars 2012, éditeur en chef associé de la revue Statistique et société de la SFDS depuis septembre 2012, François Husson exerce ses activités de recherche au sein du Laboratoire de mathématiques appliqués d’Agrocampus Ouest et est l’un des développeurs de FactoMineR.
Parmi les différentes normes existantes, laquelle choisir? Quelles sont les grandes règles à respecter pour concevoir une bibliographie dans les règles de l’art dans le domaine juridique? L’objectif du stage est de permettre aux participants de : valoriser leur travail de recherche documentaire, choisir une forme efficace de présentation de ses références, connaître les usages et abréviations en matière de mentions d’œuvres, savoir citer des sites web, des ressources en ligne ou des sources particulières, faire ses choix pour l’organisation de la bibliographie.
Attention, le stage n’est pas une formation à Zotero.
16/04/2015
9h30-15h30
Lieu : salle de formation Urfist, Bibliothèque Droit-Lettres, 4 avenue D. Diderot 33607 Pessac – 1er étage
Contenus : intérêt des références et de la bibliographie ; intérêt de choisir une norme de présentation ; les normes de référence aux différentes sources (textes normatifs, livres, articles, mélanges, sites web…) ; normes et usages, emplois des abréviations traditionnelles ; quelques principes d’organisation de la bibliographie
Publics : doctorants en sciences juridiques uniquement. Le stage n’est pas adapté aux professionnels de l’information produisant des bibliographies.
Pré-requis : pas de pré-requis, le stage est accessible également aux personnes qui n’ont pas encore commencé de rédaction ou le travail de recherche. Attention : le stage n’inclut pas la formation à un logiciel de gestion automatisée des références bibliographiques comme Zotero.
Le terme d’open access se traduit en français par « libre accès ». L’objectif de l’open access est de diffuser les travaux de recherche, sans contrainte financière pour le lecteur et tout en respectant le droit d’auteur ainsi que les autorisations accordées par les éditeurs commerciaux.
Pour un chercheur, l’open access constitue aussi un mode de valorisation de ses travaux complémentaire de la diffusion assurée par des éditeurs commerciaux. Ainsi, des éditeurs tels que Elsevier ou l’IEEE autorisent leurs auteurs à publier leurs travaux également en libre accès.
Que peut-on diffuser en open access (pre-print, post-print, PDF auteur)? Comment identifier les sites adaptés à sa discipline et accroître sa visibilité sur internet? Quelles sont les contraintes à prendre en compte pour respecter le droit d’auteur ainsi que les termes du contrat passé avec un éditeur, le cas échéant? Quels sont les avantages de la diffusion en libre accès pour un auteur?
Le stage cible les sciences et technologies.
Partenaire : Ensam, Centre de Bordeaux-Talence
10/04/2015
9h-13h
Lieu : salle de formation Urfist, Bibliothèque Droit-Lettres, 4 avenue D. Diderot 33607 Pessac – 1er étage
Contenus : rappel des principes de l’open access (avantages et enjeux pour les chercheurs en sciences et technologies), sélection de ressources en open access disponibles en sciences et technologies, exercices sur la publication en open access : travail sur des cas pratiques.
Publics : doctorants, enseignants-chercheurs, chercheurs ; professionnels de l’information en sciences et technologies exerçant des missions en lien avec la valorisation de la recherche
Pré-requis : aucun
Intervenant : ancienne allocataire de recherche en littérature à Grenoble 3, Sabrina Granger est conservateur des bibliothèques et responsable de l’Urfist de Bordeaux.
L’objectif du stage est de permettre aux professionnels de l’information de mieux appréhender les enjeux inhérents à l’utilisation des réseaux sociaux de chercheurs par les publiants. Ce stage peut aider les professionnels de l’information à identifier des problématiques potentielles d’intervention auprès des chercheurs.
Il ne s’agit pas d’une formation ciblant la création de profil sur un réseau social, mais d’un stage permettant de faire le point sur :
les notions clés et les définitions : quelles sont les particularités des réseaux sociaux de chercheurs par rapport aux autres outils généralistes pouvant aussi être utilisés par des chercheurs
les enjeux à l’échelle individuelle (auteur) et à l’échelle d’une collectivité (institution, unité de recherche)
les avantages et les limites des réseaux sociaux de chercheurs : problématiques juridiques, diffusion des travaux de recherche, etc.
Le stage s’adresse à des participants issus de toutes disciplines.
23/04/2015
13h30-15h30
Lieu : salle de formation Urfist, Bibliothèque Droit-Lettres, 4 avenue D. Diderot 33607 Pessac – 1er étage
Contenus : définitions, sélection d’outils, enjeux individuels et collectifs, etc.
Publics : professionnels de l’information, toutes disciplines confondues, personnels des universités et des EPST exerçant des missions auprès de chercheurs
Pré-requis : aucun
Intervenant : ancienne allocataire de recherche en littérature à Grenoble 3, Sabrina Granger est conservateur des bibliothèques et responsable de l’Urfist de Bordeaux.
La création d’un profil sur un réseau social de chercheur semble désormais faire partie des pratiques courantes des auteurs. Curriculum vitae en ligne, outil de veille, dispositif d’identification de collaborateurs, mais aussi vitrine de sa recherche : les réseaux sociaux chercheurs présentent toutes ces facettes. Mais quels sont les points de vigilance à prendre en compte au moment de rejoindre un réseau social de chercheurs, notamment, en matière de diffusion de travaux de recherche? Quels sont les outils principaux et leurs différences? Quels sont les services proposés?
La formation se concentre sur les réseaux sociaux de chercheurs (ResearchGate, Academia) par opposition aux réseaux sociaux professionnels généralistes (LinkedIn, Viadéo) et ne vise pas à faire créer aux participants leur profil pendant le stage, mais à leur donner des outils d’aide à la décision. Le stage est particulièrement adapté aux auteurs n’ayant pas encore de profil sur un réseau social de chercheurs.
21/04/2015
13h30-15h30
Lieu : salle de formation Urfist, Bibliothèque Droit-Lettres, 4 avenue D. Diderot 33607 Pessac – 1er étage
Contenus : définitions et panorama sélectif, typologie des services proposés, aspects juridiques
Publics : doctorants, enseignants-chercheurs et chercheurs, toutes disciplines
Pré-requis : aucun
Intervenant : ancienne allocataire de recherche en littérature à Grenoble 3, Sabrina Granger est conservateur des bibliothèques et responsable de l’Urfist de Bordeaux.
LaTeX est un langage de balisage de documents structurés qui vise à décharger l’auteur des préoccupations de présentation, celle-ci étant confiée à une feuille de style (appelée « classe »). LaTeX n’est donc pas un éditeur de type WYSIWYG (what you see is what you get) puisqu’il contraint l’utilisateur à séparer le fond de la forme, à l’instar d’un format tel que le XHTML. Si cette particularité de LaTeX peut rebuter les utilisateurs potentiels, il s’avère que la distinction entre le fond et la forme pousse à structurer dès le départ le document et garantit un rendu beaucoup plus abouti. Très puissant, LaTeX permet de gérer de manière optimale la typographie, les références croisées, la bibliographie, les index, les graphiques et les équations.
Si LaTeX est fréquemment utilisé par les mathématiciens pour écrire leurs articles scientifiques (la plupart des éditeurs de revues mathématiques exigent d’ailleurs ce format), LaTeX est aussi utilisé en sciences sociales où la puissance du langage TeX permet entre autres une gestion simple et efficace de notes de bas de page en grand nombre.
Ce stage d’un jour et demi permet de passer sans délai à la mise en application.
19 et 20/03/2015 : attention, stage sur 1 jour et demi ; le stage doit être suivi dans son intégralité
J1 : 09h30-12h30 ; 13h30-16h30 ; J2 : 9h30-12h30
Lieu : salle de formation Urfist, Bibliothèque Droit-Lettres, 4 avenue D. Diderot 33607 Pessac – 1er étage
Contenus : installer LaTeX sur son poste personnel : les stagiaires sont invités à venir avec leur ordinateur portable ; mettre en forme le corps d’un document : gérer les espaces, les lignes, les pages ; concevoir une page de titre ; modifier les polices ; gérer des tableaux et des images ; initiation à la personnalisation ; exercices
Publics prioritaires : enseignants-chercheurs, chercheurs et doctorants
Autres publics : sous réserve des places disponibles
Pré-requis : aucun
Intervenant : maître de conférences à l’Université de Bordeaux en physique, Sophie Jéquier effectue ses travaux de recherche au sein de l’unité mixte de recherche Centre Lasers Intenses et Applications (CELIA).
La textométrie, née en France dans les années 80, a développé des techniques puissantes et originales pour l’analyse de grands corpus de textes. Reprenant les acquis de la lexicométrie et de la statistique textuelle, elle propose des outils et des méthodes éprouvés dans de multiples branches des SHS et statistiquement solidement fondés. Le projet Textométrie fédère les développements logiciels académiques du domaine pour mettre en place une plateforme modulaire et open-source appelée TXM. Il s’agit à la fois d’une opération patrimoniale au rayonnement international et du lancement d’une nouvelle génération de recherche textométrique, en synergie avec les technologies de corpus actuelles (Unicode, XML, TEI, outils de TAL, CQP, R).
La formation est animée par Serge Heiden, responsable du projet « Textométrie ».
La plateforme TXM est couramment utilisée par des projets de recherche de différentes disciplines de lettres, sciences humaines et sociales comme l’histoire, la littérature, la géographie, la linguistique, la sociologie et les sciences politiques. La plateforme TXM combine des techniques puissantes et originales pour l’analyse de grands corpus de textes au moyen de composants modulaires et open-source. TXM permet actuellement de : construire des sous-corpus à partir de différentes métadonnées (propriétés) des textes (eg. : date de publication, auteur, type de texte, thème) ; construire des partitions à partir de ces propriétés permettant d’appliquer des calculs de contraste entre les textes ou entre groupes de textes ; produire des concordances kwic à partir de recherches de motifs lexicaux complexes – construits à partir des propriétés des mots (eg. : « un mot de lemme ’aimer’ suivi à au plus de 2 mots d’un mot commençant par ’pouv’) ; calculer le vocabulaire d’ensemble d’un corpus ou la liste des valeurs attestées d’une propriété de mot donnée ; construire une édition HTML de base pour chaque texte du corpus et des tableaux de contingence croisant les mots, les textes et leurs structures, etc.
11 et 12/05/2015 ; il n’est pas possible d’assister partiellement à la formation
9h30-16h30
Lieu : salle de formation Urfist, Bibliothèque Droit-Lettres, 4 avenue D. Diderot 33607 Pessac – 1er étage
Contenus : initiation aux outils d’analyse et initiation à la préparation de corpus et prise en main de TXM
Publics : doctorants, enseignants-chercheurs et chercheurs analysant des corpus de textes.
Pré-requis : analyser des corpus de textes ; avoir une utilisation courant de la bureautique. La formation est également adaptée aux « faux débutants » TXM.
Intervenant : ingénieur de recherche en informatique linguistique à l’ENS de Lyon, Serge Heiden est responsable du projet « Textométrie » et exerce au sein de l’unité mixte de recherche Icar.
Le dessin vectoriel est assez méconnu alors qu’il est extrêmement utilisé dans divers contextes : publicité, logos, affiches, dessin technique, architecture, plan. Inkscape, logiciel libre et gratuit, permet de réaliser simplement de nombreux dessins de ces types et permet notamment de réaliser des supports de présentation type poster.
Cette formation est l’occasion de parcourir les outils essentiels d’Inkscape et de les mettre en pratique dans des exemples concrets alliant à la fois les aspects logiciel et graphiques.
30 et 31/03/2015. Il n’est pas possible d’assister partiellement à la formation
9h30-12h30 ; 13h30-16h30
Lieu : salle de formation Urfist, Bibliothèque Droit-Lettres, 4 avenue D. Diderot 33607 Pessac – 1er étage
Contenus : formes vives et outils : dessiner des formes, combiner des formes simples pour créer des graphiques complexes ; manipuler du texte : ajouter du texte et le mettre en forme ; transformer les formes : redimensionner, faire pivoter, aligner et distribuer, etc. ; optimiser les répétitions : créer et appliquer des motifs, des clones ; l’Outil de Bézier et les nœuds : créer des lignes et des courbes, remanier lignes et courbes ; couleurs et dégradés : opacité d’objet et de couleurs, créer et utiliser des dégradés, reproduire automatiquement des couleurs ; images matricielles : importer des photos, rogner l’affichage des photos, incorporation et liaison de photos, exportation en matriciel de graphiques, vectorisation, masques
Publics : chercheurs, enseignants-chercheurs et doctorants
Pré-requis : aucun pré-requis technique. Prévoir des données à mettre en forme.
Intervenant : Cédric Gémy est formateur et graphiste. Il enseigne aussi à l’université de Rennes 2 (responsable des enseignements informatiques de la filière USETIC) et à l’université catholique de l’Ouest. Cédric Gémy est l’auteur de plusieurs ouvrages sur GIMP, Scribus et Inkscape ou encore les fontes et l’édition électronique.
C. Gémy est aussi contributeur à Inkscape et Scribus et co-fondateur de Flossmanuals francophone et de l’association francophone des graphistes libres.
LaTeX est un langage de balisage de documents structurés qui vise à décharger l’auteur des préoccupations de présentation, celles-ci étant confiées à une feuille de style appelée « classe ». LaTeX n’est donc pas un éditeur classique de type WYSIWYG (what you see is what you get) puisqu’il contraint l’utilisateur à séparer le fond de la forme.Si cette particularité de LaTeX peut rebuter les utilisateurs potentiels, il s’avère que la distinction entre le fond et la forme pousse l’utilisateur à structurer dès le départ le document. Très puissant, gratuit, LaTeX permet de gérer de manière optimale la typographie, les références croisées, la bibliographie, les index, les graphiques et les équations.
Si LaTeX est fréquemment utilisé par les mathématiciens pour écrire leurs articles scientifiques (la plupart des éditeurs de revues mathématiques exigent d’ailleurs ce format), LaTeX est aussi utilisé en sciences sociales où la puissance du langage TeX permet une gestion simple et efficace de notes de bas de page en grand nombre, de bibliographies complexes, de tables des matières et d’index même pour de gros ouvrages comportant des centaines voire des milliers de pages.
Ce stage d’une demie journée permet aux participants de se concentrer sur la gestion des références bibliographiques sous LaTeX. Il est donc nécessaire de disposer d’une connaissance de base de LaTeX pour suivre le stage.
Lieu : salle de formation Urfist, Bibliothèque Droit-Lettres, 4 avenue D. Diderot 33607 Pessac – 1er étage
Contenus : format BibTeX ; utilisation de JabRef et Zotero sous LaTeX ; importer, insérer et modifier des références bibliographiques
Publics : toute personne amenée à produire des documents complexes, nécessitant entre autres l’insertion de formules, d’images.
Pré-requis : maîtrise des fonctionnalités de base de LaTeX.Prévoir une bibliographie sur laquelle travailler lors de la séance.
Intervenant : docteur en informatique, Céline Chevalier est agrégée et maître de conférences en mathématiques à l’université Paris 2 ; elle s’est spécialisée dans la cryptographie et a collaboré avec l’équipe de Dan Boneh à l’université de Stanford (Palo Alto, Californie). Céline Chevalier anime régulièrement des formations à LaTeX et a coordonné et co-écrit l’ouvrage LaTeX pour l’impatient. Sa thèse de doctorat intitulée Étude de protocoles cryptographiques à base de mot de passe est disponible en ligne.
LaTeX est un langage de balisage de documents structurés qui vise à décharger l’auteur des préoccupations de présentation, celles-ci étant confiées à une feuille de style appelée « classe ». LaTeX n’est donc pas un éditeur classique de type WYSIWYG (what you see is what you get) puisqu’il contraint l’utilisateur à séparer le fond de la forme.Si cette particularité de LaTeX peut rebuter les utilisateurs potentiels, il s’avère que la distinction entre le fond et la forme pousse l’utilisateur à structurer dès le départ le document. Très puissant, gratuit, LaTeX permet de gérer de manière optimale la typographie, les références croisées, la bibliographie, les index, les graphiques et les équations.
Si LaTeX est fréquemment utilisé par les mathématiciens pour écrire leurs articles scientifiques (la plupart des éditeurs de revues mathématiques exigent d’ailleurs ce format), LaTeX est aussi utilisé en sciences sociales où la puissance du langage TeX permet une gestion simple et efficace de notes de bas de page en grand nombre, de bibliographies complexes, de tables des matières et d’index même pour de gros ouvrages comportant des centaines voire des milliers de pages.
Ce stage d’une demie journée permet aux participants de se concentrer sur l’édition d’équations et dessins spécifiques. Il est donc nécessaire de disposer d’une connaissance de base de LaTeX pour suivre le stage.
Lieu : salle de formation Urfist, Bibliothèque Droit-Lettres, 4 avenue D. Diderot 33607 Pessac – 1er étage
Contenus : éditer des équations, insérer des dessins scientifiques, gérer ses références bibliographiques
Publics : toute personne amenée à produire des documents complexes, nécessitant entre autres l’insertion de formules, d’images.
Pré-requis : maîtrise des fonctionnalités de base de LaTeX
Intervenant : docteur en informatique, Céline Chevalier est agrégée et maître de conférences en mathématiques à l’université Paris 2 ; elle s’est spécialisée dans la cryptographie et a collaboré avec l’équipe de Dan Boneh à l’université de Stanford (Palo Alto, Californie). Céline Chevalier anime régulièrement des formations à LaTeX et a coordonné et co-écrit l’ouvrage LaTeX pour l’impatient. Sa thèse de doctorat intitulée Étude de protocoles cryptographiques à base de mots de passe est disponible en ligne.
LaTeX est un langage de balisage de documents structurés qui vise à décharger l’auteur des préoccupations de présentation, celle-ci étant confiée à une feuille de style (appelée « classe »). LaTeX n’est donc pas un éditeur de type WYSIWYG (what you see is what you get) puisqu’il contraint l’utilisateur à séparer le fond de la forme, à l’instar d’un format tel que le XHTML. Si cette particularité de LaTeX peut rebuter les utilisateurs potentiels, il s’avère que la distinction entre le fond et la forme pousse à structurer dès le départ le document et garantit un rendu beaucoup plus abouti. Très puissant, LaTeX permet de gérer de manière optimale la typographie, les références croisées, la bibliographie, les index, les graphiques et les équations.
Si LaTeX est fréquemment utilisé par les mathématiciens pour écrire leurs articles scientifiques (la plupart des éditeurs de revues mathématiques exigent d’ailleurs ce format), LaTeX est aussi utilisé en sciences sociales où la puissance du langage TeX permet une gestion simple et efficace de notes de bas de page en grand nombre, de bibliographies complexes, de tables des matières et d’index même pour de gros ouvrages comportant des centaines voire des milliers de pages.
Ce stage d’un jour et demi permet de passer sans délai à la mise en application.
01 ET 02/12/2014 : attention, stage sur 1 jour et demi ; le stage doit être suivi dans son intégralité
J1 : 09h30-12h30 ; 14h-17h ; J2 : 9h30-12h30
Lieu : salle de formation Urfist, Bibliothèque Droit-Lettres, 4 avenue D. Diderot 33607 Pessac – 1er étage
Contenus :
– installer LaTeX sur son poste personnel : les stagiaires sont invités à venir avec leur ordinateur portable
– mettre en forme le corps d’un document : gérer les espaces, les lignes, les pages
– concevoir une page de titre
– modifier les polices
– gérer des tableaux et des images
– initiation à la personnalisation
– exercices
Publics : toute personne amenée à produire des documents complexes, nécessitant entre autres l’insertion de formules, d’images.
Pré-requis : aucun
Intervenant : docteur en informatique, Céline Chevalier est agrégée et maître de conférences en mathématiques à l’université Paris 2 ; elle s’est spécialisée dans la cryptographie et a collaboré avec l’équipe de Dan Boneh à l’université de Stanford (Palo Alto, Californie). Céline Chevalier anime régulièrement des formations à LaTeX et a coordonné et co-écrit l’ouvrage LaTeX pour l’impatient. Sa thèse de doctorat intitulée Étude de protocoles cryptographiques à base de mots de passe est disponible en ligne.
Zotero est un outil gratuit permettant d’importer automatiquement des références à partir de sites, de catalogues en ligne. Zotero permet aussi de gérer une bibliothèque personnelle de références bibliographiques et de fichiers, de travailler sur plusieurs ordinateurs, d’exporter des données sous différents formats, d’extraire de PDF des données descriptives et d’intégrer automatiquement ses références dans des textes. Il devient ainsi très facile de gérer ses notes de bas de page, la bibliographie finale d’une thèse, d’un article ou d’un mémoire.
L’enjeu du stage est de permettre aux participants de maîtriser l’interface et les principales fonctionnalités de Zotero. Dans le cadre de la formation, le travail est effectué dans un environnement Windows.
La formation se déroule sous la forme d’un atelier en petit groupe.
13/06/2014, 19/06/2014, 20/06/2014 : 9h30-12h30
Lieu : salle de formation Urfist, Bibliothèque Droit-Lettres, 4 avenue D. Diderot 33607 Pessac – 1er étage
Contenus :
Installer Zotero sur un poste et présentation de l’interface
Importer des références automatiquement et manuellement, éditer des références
Importer et gérer les PDF, extraire des données descriptives des fichiers
Insérer des références dans un texte
Choisir et modifier ses styles bibliographiques en cours de rédaction
Gérer sa bibliothèque personnelle : dossiers dynamiques et dossiers statiques, sauvegarde de recherches
Gérer les doublons
Publics :toute personne souhaitant automatiser la gestion de ses références bibliographiques ; le stage est particulièrement adapté aux personnes amenées à gérer un volume important de références bibliographiques. Il s’agit d’un niveau initiation destiné à des utilisateurs débutants. Les fonctionnalités de travail collaboratif et de personnalisation de styles bibliographiques ne sont pas traitées dans ce stage.
Pré-requis : savoir utiliser un navigateur, savoir naviguer entre plusieurs écrans, savoir télécharger des fichiers dans l’emplacement de son choix (bureau, etc.)
Intervenant : ancienne allocataire de recherche en littérature à Grenoble 3, Sabrina Granger est conservateur des bibliothèques et responsable de l’Urfist de Bordeaux.
S’inscrire: le contenu de toutes les sessions est similaire ; chaque stagiaire est invité à sélectionner une session
« On désigne généralement par le terme de web sémantique un ensemble de technologies développé par le W3C (l’un des principaux organismes de normalisation du Web) visant à faciliter l’exploitation des données structurées, notamment en permettant leur interprétation par des machines. Le web de données (Linked Data en anglais) combine les technologies du web sémantique avec les principes fondamentaux du web (protocole HTTP, identifiants URI), avec pour objectif la construction d’un réseau d’informations structurées, disponibles en ligne et facilement réutilisables dans de nombreux contextes. »
Dans ce contexte d’interconnexion des données, quels sont les enjeux et les perspectives pour les bibliothèques universitaires? Quels sont les impacts pour les professionnels de la documentation? Le stage propose aux participants une introduction aux concepts du web sémantique ainsi qu’une réflexion sur la mise en oeuvre concrète de ces notions par les bibliothèques universitaires. Le stage n’est pas ciblé sur la technique mais a pour ambition de contextualiser l’action des bibliothèques de l’enseignement supérieur.
L’accueil des étudiants et des chercheurs étrangers constitue un enjeu majeur pour les universités françaises. Or, l’internationalisation des publics de l’université a un impact direct sur les bibliothèques. Comment accueillir des usagers non francophones, comment les former à l’utilisation des ressources de la bibliothèque quand on ne parle pas couramment anglais?
L’objectif du stage est de permettre aux participants de tirer parti de leurs compétences actuelles en leur donnant des méthodes pour concevoir et présenter un support de formation en langue étrangère, dialoguer avec les personnes formées, argumenter, expliciter et reformuler des concepts. Le stage doit permettre à tout participant d’acquérir la méthode pour préparer son intervention et parler longuement sans effort.Le stage ne s’adresse pas à des spécialistes de l’anglais mais à toute personne capable de lire la presse généraliste en anglais. Le stage s’adresse particulièrement aux personnels des bibliothèques mais reste ouvert à toute personne amenée à animer des formations en anglais.
25 et 26/03/2014 : attention, stage sur 2 jours
09h30-12h30 ; 13h30-16h30
Lieu : salle de formation Urfist, Bibliothèque Droit-Lettres, 4 avenue D. Diderot 33607 Pessac – 1er étage
Contenus :
– Remise à niveau: rappels grammaticaux, rappels lexicaux
– Prise de parole en anglais
– Effectuer une présentation en anglais
– Étude de cas
– Jeux de rôle
– Travail sur la prononciation
Publics : toute personne amenée à animer des formations, à accueillir des publics anglophones
Pré-requis : niveau en anglais suffisant pour comprendre un article de presse, expérience dans le domaine de la formation. Le stage ne s’adresse pas à des participants anglicistes ou s’exprimant déjà couramment en anglais. L’enjeu est précisément de permettre aux stagiaires d’exploiter au mieux leurs compétences actuelles en acquérant des techniques de prise de parole en langue étrangère.
Intervenant : Jeannot Ouellet intervient depuis plusieurs années dans les centres de formation à l’échelle nationale. Spécialisé dans l’acquisition du vocabulaire bibliothéconomique, Jeannot Ouellet anime également des formations dédiées à la maîtrise de l’anglais en situation professionnelle (colloque, réunion, etc.).
Le stage s’adresse à tout formateur désireux d’enrichir sa pratique professionnelle en lui permettant notamment : de mieux comprendre les processus d’apprentissage, de mettre en cohérence les différentes composantes d’une formation (objectifs, contenus, progression, démarche pédagogique, évaluation) et d’acquérir ou d’affermir des méthodes favorisant l’apprentissage et l’implication des étudiants. Le stage met l’accent sur la pratique et sur les exercices. Le travail en groupes de participants joue également un rôle central dans le déroulement de la formation.
16 et 17/01/2014 : attention, stage sur 2 jours
09h30-12h30 ; 13h30-16h30
Lieu : salle de formation Urfist, Bibliothèque Droit-Lettres, 4 avenue D. Diderot 33607 Pessac – 1er étage
Contenus :
Les processus d’appropriation :
– les différentes conceptions de l’apprentissage et de la formation
– intérêt et limites de différentes méthodes pédagogiques (exposés, études de cas, travaux pratiques, formation assistée par ordinateur, simulations, etc.)
– facteurs clés de succès des formations mises en place
La détermination et la présentation des contenus :
– déterminer les objectifs pédagogiques
– définir les étapes de la progression pédagogique
– connaître les principes de la communication pédagogique
– connaître les principes de rédaction et d’utilisation des supports
Publics : toute personne impliquée dans des activités pédagogiques
Pré-requis : avoir une expérience d’au moins 1 an dans le domaine de la formation
Intervenant : Philippe Fabre est titulaire d’un CAPES et d’un DEA de sciences humaines. Il développe une approche pragmatique sur les dimensions humaines dans les organisations. Philippe Fabre contribue aussi à des ouvrages méthodologiques destinés aux professionnels ; on peut citer :
« Construire et conduire la formation » et « Optimiser l’évaluation » in Former les utilisateurs de la bibliothèque.
Comment ne pas tomber dans les pièges de l’utilisation incontrôlée des diaporamas? Comment concevoir un poster scientifique efficace? La formation mêle apports théoriques et mise en pratique afin de donner aux participants les clés pour concevoir des supports visuels adaptés aux présentations scientifiques orales, des posters scientifiques.
12/02/2015
9h-12h30 ; 13h30-17h
Lieu : salle de formation Urfist, Bibliothèque Droit-Lettres, 4 avenue D. Diderot 33607 Pessac – 1er étage
Contenus : rappel des principes généraux des présentations orales (Exposé théorique) ; règles à respecter pour la réalisation de supports visuels efficaces en accompagnement de son discours ; adaptation de ces règles à la réalisation de posters scientifiques dans le cadre de congrès. L’après-midi sera consacrée à des mises en situation : présentations orales des travaux des participants et discussions autour de ces présentations avec l’ensemble des participants.
Publicsprioritaires : doctorants, chercheurs et enseignants-chercheurs toutes disciplines souhaitant améliorer la communication de leurs résultats de recherche lors de congrès, colloques ou simples réunions scientifiques.
Autres catégories de publics : sous réserve des places disponibles
Pré-requis : Maîtriser les fonctions de base de PowerPoint pour réaliser des diaporamas
Il sera proposé à chaque participant de faire une courte présentation orale (5 min maximum) sur son sujet de recherche ou la thématique de son choix avec supports visuels adaptés (maximum 10 diapositives). En conséquence, il sera demandé aux participants de venir avec leur diaporama préparé au préalable sur la base de ce qu’ils ont l’habitude de faire.
Chaque présentation sera suivie d’une auto-critique par le stagiaire lui-même et par une évaluation globale de la part de l’ensemble des participants, l’objectif étant de faire corriger à chacun d’éventuelles erreurs afin d’améliorer la qualité des futures présentations et supports de communication.
Intervenant : formateur indépendant, Patricia Volland-Nail est docteur en écologie et a co-animé le pôle « Bibliométrie » au sein de la direction de l’information scientifique et technique de l’INRA. P. Volland-Nail a travaillé à l’INRA en tant qu’ingénieur de recherche de 1982 à 2012. Par ailleurs, Patricia Volland-Nail a aussi coordonné et animé MISTeR, un projet national d’offre de formation à l’information et à la communication scientifique et technique pour les doctorants accueillis sur les centres de l’INRA. Son ouvrage Stratégies de publication scientifique, publié en 2013, est disponible en ligne.